Jeudi , 30 novembre 2023

Archives du blog

Sécurité globale : Les blocages politiques influent sur le climat sécuritaire

 

Contacté par leconomistemaghrebin.com, sur le retard enregistré dans la composition du gouvernement et les répercussions que cela pourrait engendrer au niveau sécuritaire, Mazen Chérif, expert des affaires sécuritaires et responsable du département de lutte contre le terrorisme au Centre tunisien des études et de la sécurité globale, a estimé que dans tous les cas de figure le péril existe bel et bien.

Mohamed Fadhel Ben Omrane : Ouverture des dossiers des hommes d’affaires interdits de voyage

 

Mohamed Fadhel Omrane, chef du bloc de Nidaa Tounès à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a indiqué, dans une déclaration accordée à Wassim Ben Larbi à l’émission Expresso de ce matin du mercredi 28 janvier 2015, que le prochain gouvernement sera de coalition au cas où les partis concernés n’ont pas  changé leurs positions vis-à-vis de la composition actuelle.

Néjem Gharsalli a-t-il renoncé à son poste ?

 

La désignation de Néjem Gharsalli à la tête du ministère de l’Intérieur dans le nouveau gouvernement de Habib Essid n’est pas la bienvenue chez plusieurs composantes de la scène politique et sociale en Tunisie.

 

Suite à cette vague de critiques, les rumeurs commencent à circuler sur son refus de ce poste. Toujours selon les informations rapportées par certains médias, M. Gharsalli aurait présenté ses excuses et demandé à M. Essid de le décharger de cette mission.

Un an après, la nouvelle Constitution laisse encore trop de marge à l’interprétation

 

Il y a an, jour pour jour, la Tunisie se dotait d’une nouvelle Loi fondamentale. La Constitution de la Deuxième République scellait la fin d’une époque et l’avènement d’une nouvelle ère.

 

L’évènement fit d’autant plus sensation que le challenge était loin d’être gagné d’avance. Mais, passés les premiers moments d’euphorie et à l’épreuve des réalités du terrain, il s’avère pour les spécialistes que l’Assemblée nationale constituante aurait pu mieux faire.

Le syndicat des magistrats prend la défense de Najem Gharsalli et le blanchit de toutes les accusations de l’AMT

 

« Il ne pèse sur le ministre de l’Intérieur désigné, Najem Gharsalli, aucun soupçon de corruption administrative ou morale, qui, tout au long de sa carrière en tant que magistrat dans le gouvernorat de Kasserine et de gouverneur, n’a jamais été l’objet de suspicion ; au contraire, tous ceux qui ont travaillé avec ont rendu hommage à son expérience et à son travail », a affirmé à Africanmanager le coordinateur général du Syndicat des magistrats tunisiens,

Tunisie: Quelles sont les promesses tenues par le gouvernement, selon le “Jomâa-mètre” ?

 

En fevrier 2014, l'ONG I Watch-Tunisia lançait le “Jomâa-mètre”, une manière de suivre le travail du nouveau gouvernement et l’évolution de ses engagements.

 

Près d'un an après sa mise en place, le site a livré ses premières conclusions sur les promesses tenues par M. Jomâa.

Mehdi Jomaa estime que la démission de son gouvernement n’était pas précipitée

 

Mehdi Jomaa a présenté, lundi 26 janvier, la démission de son gouvernement. Cette démission a été acceptée par le Président de la République, Béji Caïd Essebsi. Mehdi Jomaa a souligné que cette démission n’était pas précipitée. Il a précisé qu’il s’agit d’un acte correct tout en ajoutant que cette démission vise à ouvrir la voie au nouveau gouvernement

Béji Caïd Essebsi reçoit Mehdi Jomâa venu lui présenter la démission de son gouvernement Mehdi

 

 Le Président de la République, Béji Caïd Essebsi, a reçu au cours de la matinée du lundi 26 Janvier 2015 au palais de Carthage le Chef du gouvernement provisoire, Mehdi Jomâa, venu lui présenter la démission de son gouvernement. A l’issue de son entretien, Mehdi Jomâa a déclaré que le Président de la République l’a chargé de continuer à gérer les affaires courantes et ce jusqu'à la mise en place du nouveau gouvernement conformément à la constitution. 

Tunisie – Gouvernement : Il ne s’agit pas de politique mais de realpolitik!

 

109 voix et le gouvernement Essid pourrait réussir le concours d’entrée à la Deuxième République. Nidaa Tounes, avec ses 86 députés, et son allié l'UPL (16 députés) réunissent à eux seuls 102 voix. Restent les 7 autres qui seront déterminantes pour passer le cap de l'approbation de l'ARP. Mais ça sera tout juste, et en tout cas cela ne sera pas pour demain. Car comme désormais tout le monde, tous les partis veulent des postes ministériels et sont déçus de ne pas en avoir. En fait, 219 ministères, pourquoi pas!