dimanche , 24 septembre 2023
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Ras Jedir : une grande affluence des libyens et diplomates

 

Le poste frontalier de Ras Jedir du gouvernorat de Médenine connait une grande affluence des libyens, des étrangers et des diplomates qui fuient la Libye en raison de la situation sécuritaire instable.
Le correspondant de Shems Fm dans la région a affirmé que plusieurs bus transportant des étrangers et des diplomates sont arrivés à RasJedir et se sont déplacé à l’aéroport de Djerba Zarzis.
Cent cadre et agents des organisation internationale sont arrivés en Tunisie dans les dernière 24h00.  

Moncef Marzouki reçoit l’ambassadeur de Tunisie en Libye

 

Le président de la République, Moncef Marzouki, a rencontré, aujourd’hui, 16 juillet 2014, au palais de Carthage, l’ambassadeur de Tunisie en Libye, Ridha Boukadi. La discussion a porté sur la situation sécuritaire en Libye et le processus de transition démocratique en ce pays.

 

Nous rappelons, par ailleurs, que M.Boukadi avait déjà déclaré qu’il songeait sérieusement à démissionner à cause des menaces de meurtre et de kidnapping qu’il reçoit quotidiennement, selon ses dires.

Libye: le consulat tunisien à tripoli fermé sans préavis

 

L’un des ressortissants tunisiens en Libye, Mohamed Hajri, a affirmé que les tunisiens ont été surpris de voir le consulat tunisien à Tripoli fermé.

Mohamed Hajri a affirmé à Shems Fm qu’il est étonné de voir le consulat fermé sans prèavis soulignant qu’il a découvert une note épinglée affirmant que le consulat est fermé jusqu’à nouvel ordre.

Réunion des chefs de la diplomatie des pays du voisinage de la Libye: Des solutions politiques pour éviter le chaos

 

Un comité ministériel se rendra en Libye pour prendre contact avec les différentes parties prenantes

La Tunisie et les autres pays du voisinage de la Libye s’emploient par tous les moyens à « aider les frères libyens à régler leurs différends par les voies pacifiques pour barrer la route au chaos et à la violence », a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Mongi Hamdi, annonçant une série de recommandations décidées lors de la réunion des chefs de la diplomatie des pays du voisinage de la Libye.

Il a assuré que les protagonistes libyens ne sont pas forcés de se conformer aux recommandations de la réunion, lesquelles constituent plutôt, a-t-il dit, « une initiative destinée à les aider à désamorcer leur crise, sur la base du respect de leur souveraineté nationale et de l’attachement à l’intégrité territoriale de leur pays ».

La réunion a permis aussi de voir comment amener les protagonistes libyens à s’asseoir autour de la table des négociations pour parvenir à une solution politique à même de permettre à leur pays de surmonter la situation difficile dans laquelle il se trouve empêtré, a-t-il ajouté, estimant qu’un règlement pacifique est la seule alternative pour amorcer une sortie de crise.

 

Deux commissions

Tous les pays du voisinage de la Libye, a encore déclaré Mongi Hamdi, sont convenus d’un certain nombre de principes, en premier lieu le plein respect de la souveraineté nationale libyenne, ainsi que de la nécessité d’œuvrer en faveur de l’arrêt des opérations militaires en cours et de l’engagement de pourparlers directs entre les protagonistes libyens pour apporter une solution politique à leurs différends.

Il a été aussi convenu de la création de deux commissions ad hoc : la première pour le suivi des questions sécuritaires, y compris la recherche des moyens de développer la coopération et la coordination sécuritaires, la lutte contre le terrorisme et la contrebande, en particulier la contrebande des armes, outre la protection des frontières au moyen d’un mécanisme commun et l’encouragement des frères libyens à rassembler les armes qui continuent de circuler dans le pays d’une manière échappant encore à tout contrôle.

Quant à la seconde commission, dont l’Egypte assurera la coordination des travaux, elle s’occupera des questions politiques en rapport avec le dossier.

Elle entrera en contact avec les protagonistes libyens pour les exhorter à se mettre autour d’une table des négociations et rechercher une issue politique à la crise.

Hamdi a indiqué que la Tunisie présidera les deux groupes de travail, son ministre des Affaires étrangères devant faire à la prochaine réunion ministérielle des pays du voisinage de la Libye (prévue en Egypte au mois d’août prochain) un rapport sur les travaux des deux commissions.

Le ministre des Affaires étrangères a précisé que ses homologues présents à la réunion de Hammamet s’étaient mis d’accord pour la mise en place d’un comité ministériel chargé de se rendre en Libye pour des contacts avec le gouvernement et les principales autres parties prenantes.

Interrogé sur les raisons de l’absence à cette réunion du ministre libyen des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Mongi Hamdi a indiqué que les développements de la situation en Libye au cours des dernières heures, de même que des considérations sécuritaires avaient empêché le ministre de venir en Tunisie, disant regretter cette absence.

Concernant des informations ayant circulé avant la réunion et faisant état de la participation de la France et des Etats-Unis d’Amérique, le ministre a affirmé que cette question n’était pas du tout à l’ordre du jour et n’avait même pas été abordée lors de la conférence de Malabo (Guinée équatoriale). Seule était prévue la présence des pays du voisinage de la Libye, a-t-il insisté.

 

Identifier une vision commune

Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a souligné hier à Tunis la nécessité d’assurer la permanence de la coordination entre la Tunisie et l’Algérie sur le terrain sécuritaire pour la traduire en résultats concrets.

Lamamra a déclaré au sortir d’un entretien avec le chef du gouvernement provisoire, au Palais du gouvernement à la Kasbah, avoir passé en revue avec Mehdi Jomaa les résultats «satisfaisants » de la réunion des ministres des Affaires étrangères des pays du voisinage libyen.

La réunion s’était ouverte avec la participation des ministres des Affaires étrangères de Tunisie, d’Algérie, du Tchad, du Niger, du Soudan et du vice-ministre égyptien des Affaires étrangères.

L’envoyé spécial de la Ligue des Etats arabes en Libye, Nasser Al-Qudwa, et le Commissaire à la paix et à la sécurité de l’Union africaine (UA) y étaient aussi présents.

Le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohamed Abdelaziz, qui devait prendre part à cette réunion n’a pas pu finalement y assister pour des raisons sécuritaires.

La Libye a été représentée par son ambassadeur à Tunis.

Le communiqué commun de la réunion rendu public hier a fait état de la création d’un groupe de travail sécuritaire au niveau des experts. L’Algérie en assurera la coordination. Le groupe en question sera en charge du suivi des questions sécuritaires et militaires y compris le contrôle des frontières. Il devra également  s’emplyer à aider à l’identitifcation d’une vision bien définie s’agissant de la récupération des armes lourdes, selon une méthode progressive visant à traiter efficacement cette question qui menace la sécurité et la stabilité de la Libye et des pays du voisinage.

 

Une salle commune des opérations

Le ministre des Affaires étrangères, Mongi Hamdi, a proposé, dimanche soir, la création d’une salle des opérations regroupant tous les pays du voisinage libyen pour mieux contrôler les frontières avec ce pays.

« Cette salle des opérations, qui aura à favoriser la coordination sécuritaire et l’échange des données, s’inscrit dans le cadre d’une stratégie commune de contrôle des frontières des pays du voisinage libyen », a-t-il expliqué à l’ouverture de la 3e conférence ministérielle des pays du voisinage libyen et dont les travaux doivent prendre fin lundi.

Face à l’amplification de la menace terroriste dans la région et la multiplication des opérations des organisations terroristes dans la région de l’Afrique du Nord et du Sahel et du Sahara, a-t-il ajouté, il semble nécessaire de redoubler de vigilance et de favoriser la coordination sécuritaire entre les autorités compétences dans ce pays voisins de la Libye pour détecter les activités de ces organisations et déjouer leurs plans criminels.

Arrestation de 8 personnes préparant des actes terroristes en Tunisie

 

Les unités spéciales de la Garde nationale sont parvenues, dernièrement, à arrêter huit personnes impliquées dans la planification et la préparation d’actes terroristes, et ce après autorisation du ministère public, selon une déclaration du porte-parole officiel du ministère de l’Intérieur, Mohamed Ali Aroui, ce soir du mercredi 21 mai 2014.

 


M. Aroui a précisé que cette opération s’est déroulée suite à une information parvenue à l’unité nationale d’investigations dans les crimes terroristes relevant de la Garde nationale, faisant état de l’entrée, en territoire tunisien, d’un groupe de terroristes en provenance de la Libye. Selon les propos du porte-parole du ministère de l’Intérieur, ce groupe aurait reçu des entraînements militaires et des exercices de maniement des armes et de fabrication des explosifs dans le but de commettre des actes terroristes en vue de déstabiliser la situation générale dans le pays et de viser certains établissements sensibles et autres responsables sécuritaires.

 


M. Aroui a conclu en indiquant que l’enquête et les investigations se poursuivent en coordination avec les autorités judiciaires.

Tunisie: L’enlèvement du diplomate tunisien Libye revendiqué

 

Le ministre des Affaires étrangères, Mongi Hamdi, a affirmé, vendredi, que l’identité des ravisseurs de Aroussi Gantassi, conseiller à l’Ambassade de Tunisie à Tripoli et kidnappé, hier, a été identifié.

 

 

Intervenu ce vendredi sur les ondes de Mosaique Fm, Mongi Hamdi a ajouté qu’ils ont revendiqué la libération d’extrémistes religieux libyens détenus en Tunisie.

 

 

Il a, par ailleurs, indiqué que la Tunisie examine la limitation du nombre de diplomates tunisiens en Libye après l’enlèvement de deux conseillers.

Tunisie: Un diplomate tunisien enlevé à Tripoli

 

Un conseiller de l’Ambassade de Tunisie à Tripoli a été enlevé  dans la capitale libyenne, a-t-on appris ce jeudi.

 

 

Laaroussi Kantassi occupait le poste de conseiller à l’ambassade tunisienne à Tripoli et est porté disparu ce jeudi. L’enlèvement n’a pas encore été revendiquée et aucune information n’a été dévoilée sur l’identité de ses ravisseurs.

 

 

Le 21 mars dernier, un autre diplomate a été kidnappé par un groupe d’inconnus. Il est toujours retenu en otage.

 

 

Les diplomates étrangers sont depuis quelques jours la cible d’enlèvements.  Mardi, l’ambassadeur de la Jordanie a été kidnappé.

Tunisie : Affaire de l’enlèvement d’un employé de l’ambassade à Tripoli

 

Une cellule de crise a été mise en place au ministère des Affaires étrangères pour assurer le suivi des derniers développements de l’affaire de l’enlèvement d’un employé local de l’ambassade tunisienne à Tripoli. 

 


Le ministère des Affaires étrangères suit avec préoccupation et une grande attention les développements de cette affaire et maintient un contact permanent avec les proches de l’agent local (Tunisien), kidnappé le 21 mars dernier, indique un communiqué du département.

 

 

Les autorités tunisiennes ont des contacts quotidiens au plus haut niveau avec les autorités libyennes et avec l’ambassade de Libye à Tunis pour obtenir, dans les plus brefs délais, la libération de l’agent enlevé.

 

 

Le ministère indique, dans le même communiqué, que des dispositions sécuritaires et mesures préventives ont été prises en coordination avec les autorités libyennes en vue d’assurer la sécurité des membres de la mission diplomatique et consulaire ainsi que des représentants des structures et établissements tunisiens en Libye.