Des sources proches de Abdelwaheb Abdallah, l’ancien conseiller de Ben Ali, indiquent que ce dernier prépare un livre explosif qui, en principe, serait publié dans peu de temps. Celui qui, après la disparition de Abdelaziz Ben Dhia, est considéré comme le dépositaire des secrets du palais de Carthage, fut l’un des hommes forts de l’ancien régime.

Des sources proches de Abdelwaheb Abdallah, l’ancien conseiller de Ben Ali, indiquent que ce dernier prépare un livre explosif qui, en principe, serait publié dans peu de temps. Celui qui, après la disparition de Abdelaziz Ben Dhia, est considéré comme le dépositaire des secrets du palais de Carthage, fut l’un des hommes forts de l’ancien régime.

Un rassemblement a été organisé, aujourd’hui, samedi 9 mai 2015, à la place de la République à Paris, en soutien aux journalistes tunisiens Sofiane Chourabi et Nadhir Ketari.

Il s’agit d’une initiative lancée par les familles des deux journalistes, et ce, suite aux déclarations contradictoires concernant leur assassinat présumé, notamment, par le biais du communiqué officiel du ministère de la justice libyen du gouvernement de Tobrouk.

Un rassemblement a été organisé, aujourd’hui, samedi 9 mai 2015, à la place de la République à Paris, en soutien aux journalistes tunisiens Sofiane Chourabi et Nadhir Ketari.

Il s’agit d’une initiative lancée par les familles des deux journalistes, et ce, suite aux déclarations contradictoires concernant leur assassinat présumé, notamment, par le biais du communiqué officiel du ministère de la justice libyen du gouvernement de Tobrouk.

Le syndicat des journalistes (SNJT) a demandé samedi l’ouverture d’une enquête sur l’agression des journalistes dans la délégation d’El Faouar à Kébili,alors qu’ils étaient en train de couvrir les mouvements de protestation dans la région, où six membres des forces de l'ordre ont également été blessés.

Le syndicat des journalistes (SNJT) a demandé samedi l’ouverture d’une enquête sur l’agression des journalistes dans la délégation d’El Faouar à Kébili,alors qu’ils étaient en train de couvrir les mouvements de protestation dans la région, où six membres des forces de l'ordre ont également été blessés.

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a déclaré, dans un communiqué rendu public mercredi 15 avril 2015, qu’encore une fois des journalistes ont été visés au cours de l’exercice de leur métier. La section du syndicat à Sfax se dit préoccupée par les agissements du représentant du ministère public auprès du Tribunal de première instance de Sfax 2.

On apprend que durant la journée du 13 avril, alors que les journalistes, Karim Makni et Fayez Boudabous effectuaient un reportage télévisé devant le siège du Tribunal, des agents de sécurité les ont sommés d’arrêter l’enregistrement, et les ont conduits au bureau du procureur adjoint de la République. Ce dernier a informé les journalistes que les reportages télévisés sont soumis à une autorisation préalable et qu’ils sont dans l’obligation de supprimer le contenu enregistré, les menaçant d’une arrestation immédiate et de poursuites judicaires s’ils ne se conforment pas à ses ordres.

Le syndicat condamne de ce fait ces pratiques, venant d’une partie censée défendre la liberté de la presse et le droit des citoyens à l’accès à l’information. Le SNJT considère que les propos du représentant du ministère public, sont une atteinte à cette liberté et un retour aux anciennes pratiques.

Par ailleurs, le syndicat se dit préoccupé du refus de l’autorité judiciaire, durant les derniers jours, de traiter avec les journalistes et leur fournir les informations nécessaires concernant l’affaire de la contrebande de feux d’artifice.

Le SNJT rappelle finalement que le travail des journalistes ne nécessite pas d’autorisations préalables, sauf en ce qui concerne les bases militaires et sécuritaires. Le syndicat affirme qu’il fera face à ces pratiques, appelant toutes les instances judiciaires à faciliter le travail des journalistes, en évitant la récurrence de ces pratiques qui menacent le processus de transition démocratique dans le pays.

Express FM a appris que l’animateur Samir el Wafi a été, de nouveau, interrogé ce matin du mercredi 15 avril 2015 par la brigade criminelle d’el Gorjani dans le cadre de l’affaire dite de "chantage" à l'encontre de l'homme d'affaires Hammadi Touil.  

Il a ensuite été déféré, en état de garde à vue, devant le procureur adjoint de la république qui va décider de sa libération ou de l’émission d’un mandat de dépôt à son encontre.

Les ministères de la Défense nationale et de l’Intérieur ont annoncé, samedi, par communiqué conjoint, que « les opérations de ratissage sont toujours en cours pour traquer les éléments terroristes dans certaines zones. Divers types d’armenents sont utilisés pour pilonner les sites susceptibles de servir de sanctuaires aux terroristes », ont-ils souligné.

Le président du syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a appelé, aujourd’hui, mardi 7 avril 2015, à arrêter les poursuites judiciaires à l’encontre du journaliste Mouldi Zouabi pour des affaires datant de l’ancien régime. M. Bghouri a considéré que ces plaintes représentent une menace pour la liberté d’expression, pouvant empêcher le journaliste d’agir d’une manière indépendante loin des pressions du ministère public.