Dimanche , 10 décembre 2023

Archives du blog

Les 15 Tunisiens kidnappés en Libye relaxés

 

Le membre de la commission de négociation tuniso-libyenne Mustapha Abdelkbir a déclaré que les Tunisiens kidnappés depuis hier à Boukmache en Libye ont été relaxés. Mustapha Ablekbir a déclaré que le nombre des Tunisiens kidnappés est de 15 personnes.  Abdlekbir a indiqué que les ravisseurs ont demandé à échanger les Tunisiens kidnappés contre un Libyen arrêté en Tunisie mais les autorités tunisiennes ont refusé d'obtempérer.

Ras Jedir: Affluence des missions diplomatiques

 

Le point de passage frontalier de Ras Jedir connait un afflux important des représentants des associations internationales et des missions diplomatiques  à la suite de l’escalade de la violence dans la ville de Tripoli et la destruction d’environ 90% “des appareils stationnés sur le tarmac de l'aéroport.

Notre correspondant a par ailleurs précisé que le nombre de libyens franchissant nos frontières entre 5000 et 6000 par jour et les échanges commerciaux ont, malgré la situation, gardé le même rythme.

Important afflux de missions diplomatiques à Ras Jedir

 

Le point de passage frontalier de Ras Jedir connait, actuellement, un afflux important des représentants des associations internationales et des missions diplomatiques, et ce à la suite de l’escalade de la violence dans la ville de Tripoli et la destruction d’environ 90% “des appareils stationnés sur le tarmac de l'aéroport.

Selon Mosaïque Fm, le nombre des libyens franchissant les frontières tunisiennes demeure élevé et estimé entre 5000 et 6000 par jour. Les échanges commerciaux ont également gardé le même rythme, et ce en malgré la détérioration de la situation.

Ras Jedir : une grande affluence des libyens et diplomates

 

Le poste frontalier de Ras Jedir du gouvernorat de Médenine connait une grande affluence des libyens, des étrangers et des diplomates qui fuient la Libye en raison de la situation sécuritaire instable.
Le correspondant de Shems Fm dans la région a affirmé que plusieurs bus transportant des étrangers et des diplomates sont arrivés à RasJedir et se sont déplacé à l’aéroport de Djerba Zarzis.
Cent cadre et agents des organisation internationale sont arrivés en Tunisie dans les dernière 24h00.  

Ouverture prochaine d’un bureau administratif à Damas: Il faut aussi se préparer au retour des jihadistes.

 

6.000 à 8.000 jeunes Tunisiens enrôlés dans les combats en Syrie, 1.200 tués et 64 dans les prisons syriennes

Les autorités tunisiennes ont annoncé officiellement l’ouverture cette semaine, mercredi 9 juillet précisément, d’un bureau administratif à Damas, après plus de deux ans de rupture des relations diplomatiques avec la Syrie. Le 4 février 2012, le président provisoire de la République, M. Moncef Marzouki, avait en effet décidé, de manière « hâtive » et à la surprise des Tunisiens, le renvoi de l’ambassadeur syrien à Tunis « en protestation contre les crimes commis par le régime d’Al-Assad contre le peuple syrien », comme il l’avait déclaré. La mission de la nouvelle antenne de liaison administrative, qui prendra le relais de la cellule de suivi à partir du Liban, se limitera, selon les déclarations officielles, à fournir des services consulaires à la communauté tunisienne en Syrie, dont le nombre est vaguement estimé à 6.000 individus. Des services on ne peut plus urgents pour permettre enfin aux Tunisiens se trouvant en Syrie de reprendre contact avec leur pays d’origine et de régulariser leur situation administrative, mais aussi, aux autorités tunisiennes de connaître de manière précise la situation des ressortissants tunisiens et de tirer au clair la question liée aux jihadistes tunisiens. Selon une source officielle, 6.000 à 8.000 jeunes ont été enrôlés, depuis le début des événements, par des réseaux terroristes tunisiens, via des associations (157 environ) et par Internet, et acheminés en Syrie pour le jihad. 1.200 d’entre eux ont été tués et 64 sont emprisonnés actuellement, selon des chiffres déclarés par la partie syrienne. Des chiffres à vérifier par la nouvelle antenne administrative car la menace est réelle vu le contexte inquiétant qui nécessite des mesures sérieuses et urgentes. Inquiétant en raison du retour probable de certains jihadistes en Tunisie, sachant que d’autres se sont déplacés de Syrie vers la Libye où l’on dénombre 18 camps d’entraînement, selon une source informée.

 

Activer l’adoption de la loi antiterroriste

Le nouveau bureau administratif à Damas, malgré sa mission relativement limitée, aura certainement du pain sur la planche pour élaborer un diagnostic réel de la situation de la communauté tunisienne et surtout pour faire toute la lumière sur les milliers de jeunes Tunisiens pris dans les filets des organisations terroristes — qui sévissent et s’entretuent en Syrie — et dont un nombre voudrait peut-être revenir en Tunisie. En prévision du retour probable de ces jihadistes, l’ouverture de ce bureau devrait contribuer à activer l’adoption de la loi antiterroriste par les membres de l’ANC afin de préparer l’outil juridique adéquat pour traiter les affaires de terrorisme selon les normes qui garantissent les droits de chacun. Des experts appellent à ce que cette loi touche également les sites électroniques terroristes qui recrutent les futurs jihadistes sur le Net. La plupart des pays, y compris occidentaux, touchés par le recrutement de leurs jeunes ressortissants, ont pris des mesures pour prendre en charge leur probable retour. En Tunisie, le silence plane sur le sujet qui n’est évoqué par aucune partie. Pire, au niveau de l’ANC, des élus s’évertuent même à retarder l’adoption de la loi antiterroriste sous prétexte de chercher à garantir le respect des droits de l’homme.

Qu’on le veuille ou pas, le terrorisme s’est installé dans nos murs. Les martyrs continuent de tomber parmi les soldats et les forces de sécurité. Les opérations sécuritaires et les arrestations de dangereux terroristes sont presque quotidiennes. Tout le monde sait comment ce terrorisme s’est installé et qui l’a aidé. Et aujourd’hui, une chose est sûre : « Le terrorisme va durer », assure une source sécuritaire.  C’est un phénomène dangereux qui nécessite beaucoup de moyens (logistiques et humains) et de patience, mais « il faut faire en sorte qu’il ne devienne pas une menace », indique la même source. Comment ? « Il faut rétrécir son terrain d’action ». Ceci ne sera possible que si le terrorisme sera traqué sur tous les fronts (sécuritaire, judiciaire, diplomatique, politique, culturel et éducatif) avec toutes sortes d’armes et pas seulement les armes à feu. Beaucoup de temps a été déjà perdu à cause des tiraillements et des calculs politiques. Il est temps que l’on passe aux choses sérieuses surtout que les prochaines échéances électorales sont à nos portes et qu’une bonne partie des Tunisiens, dégoûtée par la politique et les querelles partisanes, rechigne à faire le pas vers les bureaux de l’Isie pour s’y inscrire.

Les 30 Palestiniens réfugiés en Tunisie ont disparu

 

Le groupe de 30 Palestiniens hébergés depuis le 22 mai dernier au centre de formation touristique, à Hammamet, ont quitté, mercredi 2 juillet 2014, le lieu de leur résidence sans en informer ni la direction du centre ni l'agent chargé de leur sécurité, a rapporté une source sécuritaire à la TAP.

Les Palestiniens, parmi lesquels se trouvent des femmes et des enfants, on été logés au centre de formation à l’initiative du ministre de l’Intérieur et de la ministre du Tourisme, en attendant la régularisation de leur situation. 

Rappelons que le groupe envisageait de se rendre en Libye, en mai dernier, et est resté bloqué durant une semaine à l’aéroport Tunis-Carthage. Les Palestiniens avaient cependant obtenus un visa d’entrée et de séjour provisoire en Tunisie. On ignore pour l’instant la destination qu’ils ont prise.

Adoption de deux accords sur la sécurité sociale des Tunisiens résidant en Turquie et en Belgique

 

Le ministre des Affaires sociales, Ahmed Ammar Yonbaï, a annoncé l’adoption de  deux projets de loi, se rapportant à des accords bilatéraux avec la Turquie et la Belgique.  Ces accords permettront aux Tunisiens vivant en Turquie et en Belgique de bénéficier des mêmes avantages, en matière de sécurité sociale, que les citoyens de ces pays.

Les Tunisiens résidant en Turquie et en Belgique bénéficieront de la sécurité sociale selon le ministre des Affaires sociales

 

20 000 tunisiens résidents en Belgique et 600 en Turquie vont pouvoir désormais bénéficier de la sécurité sociale.

Le ministre des Affaires sociales, Ahmed Ammar Yombaï, a annoncé cet après-midi sur les onde de Shems Fm, que deux accords avec la Turquie et le royaume de la Belgique ont été approuvés concernant la couverture sociale des Tunisiens résidents dans ces pays.

Ils sont, a souligné le ministre, 20 000  en Belgique et 600 en Turquie qui vont pouvoir désormais bénéficier au même titre que les citoyens de ces pays, des mêmes avantages en matière de sécurité sociale.

Bateau tunisien retenu au port de Lampedusa: Rapatriement de quinze marins

 

L’affaire se poursuit pour obtenir la levée de la rétention de l’embarcation et le reste de l’équipage actuellement en garde à vue

Depuis l’arraisonnement dans les eaux territoriales italiennes du « Haj Bahri » battant pavillon tunisien, et le placement du bateau sous séquestre au port de Lampedusa, le consulat de Tunisie à Palerme poursuit les démarches auprès des autorités italiennes compétentes pour tenter d’obtenir la levée de la rétention de l’embarcation et d’assister ceux parmi les membres de son équipage encore en garde à vue, apprend l’agence TAP auprès du ministère des Affaires étrangères.

En coordination avec le Commissariat régional au développement agricole de Monastir, a précisé hier le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué, le Consulat de Tunisie à Palerme a assuré le rapatriement de 15 marins sur un total de 19 qui formaient l’équipage du bateau.

En accord avec les gardes-côtes italiens, il a obtenu que l’un des armateurs et son fils restent à bord.

Le Consulat de Tunisie à Palerme a aussi rendu visite aux membres d’équipage (l’un des armateurs et son fils) en garde à vue et est intervenu pour permettre à ces deux derniers de téléphoner à leur famille en Tunisie, ajoute le ministère.

Cette affaire, précise-t-on dans le communiqué, continuera de bénéficier de tout l’intérêt et de tout le suivi requis, afin de parvenir avec les autorités italiennes compétentes à une solution qui permette la levée de l’arraisonnement du bateau dans les plus brefs délais.

Toujours selon le ministère des Affaires étrangères, les autorités italiennes ont inculpé le capitaine de l’embarcation et son second de pêche non autorisée dans les eaux territoriales italiennes, de refus d’obtempérer aux injonctions des gardes-côtes et de dommages causés à la vedette italienne, d’après les allégations de la partie italienne.

Le « Haj Bahri » avait été arraisonné le 30 mai dernier dans les eaux territoriales italiennes avec à son bord tout son équipage. Le bateau est encore retenu par les gardes-côtes italiens au port de Lampedusa.

Le ministère des Affaires Etrangères annonce le suivi de l’affaire du chalutier “Haj Bahri”

 

Dans un communiqué rendu public, jeudi 26 juin 2014, le ministère des Affaires Étrangères a annoncé que ses services consulaires à Palermo continuent de suivre l’affaire du chalutier tunisien "Haj Bahri" retenu par les autorités italiennes à Lampedusa.

Le communiqué indique que 15 marins ont déjà été rapatriés en Tunisie et que 4 autres, parmi lesquels le propriétaire et son fils, sont restés pour assurer la sécurité du chalutier. La justice italienne accuse les 4 marins d’avoir violé l’intégrité des eaux territoriales italiennes, de pêche illégale, de refus d’obtempérer aux ordres des gardes-côtes, de tentatives de fuite et d’agression contre le bâtiment de la marine italienne. À rappeler que la saisie du chalutier par les autorités italiennes remonte au 30 mai dernier.