La Direction Générale de la Sûreté Nationale algérienne a formé des promotions de la police tunisienne, et ce, dans le cadre de la "coopération bilatérale entre l’Algérie et la Tunisie", a affirmé mardi à Constantine le DGSN, le général major Abdelghani Hamel.
Archives du blog
L’Académie militaire de Fondouk Jedid : L’usine à héros « technocrates »
Une des évidences qui se sont imposées, depuis un sacré hiver 2011, dans cette Tunisie meurtrie et trahie, c’est la qualité de notre Armée Nationale, et sa prise de position exemplaire lors des événements de la « révolution ». Notre armée a su forcer l’admiration et s’est fait citer en exemple par les plus grandes puissances mondiales,
Participation de la Tunisie aux plus importantes manœuvres militaires internationale au Maroc
La Tunisie participera aux manœuvres militaires internationales qui se dérouleront prochainement dans la ville marocaine d’Agadir et qui vont réunir le Maroc, les Etats-Unis, l’Allemagne, la Grande Bretagne, la Mauritanie et le Sénégal. Lancé le lundi 2 Février 2015, ces manœuvres militaires internationales d’une durée d’une semaine, dans la ville d'Agadir au sud du Maroc avec la participation de la Tunisie, le Maroc,
Plus de 10 000 recrutements dans l’armée et les institutions sécuritaires
Tout de suite après l'agression avortée du policier de Laouina, trois autres attaques du même genre ont eu lieu contre des agents de la force de sécurité ; deux au Bardo et un à Mornaguia. Les trois dernières attaques ont été menées à l'arme blanche et ont été perpétrées par des 'barbus', alors que la première, également au couteau, a été faite par un cagoulé.
Ridha Sfar: recrutement de 3000 agents l’année prochaine
Le ministre délégué chargé de la sécurité nationale, Ridha Sfar, a affirmé que le budget de l’Etat de 2015 a pris en compte les besoins de l’institution sécuritaire pour faire face à toutes les menaces dont le recrutement de 3 milles agents pour l’année prochaine. Sfar a ajouté que le budget prévoit 200 millions de dinars supplémentaires pour l’acquisition de nouveaux matériaux et équipement logistiques.
Une jeune tunisienne développe un capteur pour la détection d’explosifs et de stupéfiants
Une jeune tunisienne, Raafa Manai, vient de soutenir brillamment sa thèse de Doctorat en Physique Chimie des matériaux à l’Université Pierre et Marie Curie (UMPC), à Paris sponsorisée par le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) en France. Sa thèse, obtenue avec mention très honorable avec félicitations du Jury, a été réalisée dans le cadre du projet européen SNIFFER au laboratoire Capteurs Diamant (LCD) au Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) à Saclay, France.
Droits du journaliste devant la justice: Quelles garanties ?
En temps de paix comme en période de guerre, le journaliste est la cheville ouvrière de l’actualité des jours. De ce fait, il n’est jamais à l’abri des mésaventures du terrain, où il doit exercer son métier. Il fait, parfois, l’objet d’autant d’agressions sans raison. Comment doit-il se protéger ? Quelles garanties juridiques lui sont attribuées? Il suffit de se référer aux rapports mensuels régulièrement établis par le Centre de Tunis pour la liberté de la presse (Ctlp), mais aussi par d’autres organismes des droits de l’Homme pour faire le point sur un état des lieux qui en dit long. C’est que tout le corps professionnel semble avoir du mal à récupérer ses droits acquis dont la liberté d’expression.
Dans le but de lui assurer toute la protection requise, la société civile n’a pas lésiné sur les moyens d’appui et de sensibilisation sur les pistes de recours. Dans ce sens, un atelier de formation a été organisé, hier et et dont les travaux se poursuivent aujourd’hui, au Capjc (Centre africain de perfectionnement et journalistes et communicateurs), à l’initiative du Snjt, l’organisme censé être le parrain des intérêts de la corporation. Il porte sur « les droits du journaliste devant la justice ». Et c’est là que le bât blesse ! L’application des décrets 115 et 116 relatifs à la liberté de la presse, d’impression et d’édition tarde à venir, alors que leur adoption a eu lieu depuis février 2011. En l’absence d’une volonté politique claire, le secteur des médias est jusque-là resté à la merci des interprétations aléatoires, sans références juridiques claires et précises. Connaître son droit est, certes, le mot de passe préconisé, selon M. Mazen Chakoura, vice-représentant du haut commissariat aux droits de l’Homme à Tunis. Le journaliste doit être au parfum de ses droits, mais aussi de ses devoirs. Car, la liberté d’expression n’a jamais traîné dans l’absolu. D’après lui, l’on parle justement de la liberté responsable, au-delà on risque de retomber dans l’aberration morale, sans respect des règles déontologiques.
Dire la vérité ne touche en rien l’essence de l’information, sans mensonge ni diffamation. De même que l’incitation à la haine et à la violence n’ajoute point à la véracité du discours, ni à son objectivité. Et pour cause, de telles pratiques anti-professionnelles sont, au regard de la loi organisant le secteur, considérées comme attentatoires à la dignité des personnes et à l’ordre public. Et partant, ne pas respecter l’éthique journalistique est passible d’infractions à l’encontre de son auteur. Le décret 115 et 116 le confirme dans ses détails, tout en garantissant la protection du journaliste. « Et maintenant que la justice fait montre de son sérieux pour le mettre en œuvre, c’est un pas vers l’avant. Un signe positif à saluer.. », a-t-il révélé. Quant à la manière de statuer sur tous les procès intentés contre les journalistes, M. Chakoura a livré une impression positive quant à la position de la justice, soulignant que le dispositif judiciaire national a réussi à faire preuve d’impartialité et d’équité dans les affaires se rapportant au secteur. Comment alors se protéger, lors de l’exercice de ses fonctions ? Evidemment, comme on le sait tous, le décret 115-116 assure, de prime abord, la protection du journaliste. A contrario, tout dépassement de sa part est censé l’exposer à des poursuites judiciaires. Le magistrat conseiller auprès de la Cour d’appel du Kef, M. Ali Guiga, a bien montré la ligne de démarcation entre les droits et les devoirs du journaliste. En fait, le journaliste doit faire recours à la justice, la seule habilitée à lui rendre ses droits, avec toutes les garanties requises, a-t-il expliqué. A propos du décret sus-indiqué, « le ministère de la Justice est engagé à accélérer son application», affirme-t-il, rappelant que la diffamation et l’incitation à la violence sont des crimes à éviter par tous les journalistes. En tout état de cause, nul ne peut échapper à la punition. D’où le rôle capital du journaliste dans la lutte contre l’impunité.
Dèbat: Quelle relation presse-institution sécuritaire ?
Le bureau de l’Unesco à Tunis a organisé, samedi, au Kef, en collaboration avec le ministère de l’Intérieur et l’ambassade des Pays-Bas, une session de formation sur la liberté d’expression et la protection des journalistes, animée par le porte-parole de la police de Montréal (Canada).
Cette session à laquelle ont participé des journalistes et des sécuritaires a permis d’évoquer la relation entre la presse et l’institution sécuritaire et les moyens de protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier, surtout lors des manifestations, des mouvements de protestation et autres événements qui impliquent une intervention des forces de l’ordre et une présence médiatique.
L’expert canadien a présenté des exemples de l’activité de l’appareil sécuritaire dans la ville de Montréal et la stratégie employée par les forces de l’ordre dans le traitement des crises et manifestations. Il a mis l’accent sur les critères du professionnalisme et de la crédibilité dont doivent se prévaloir aussi bien les sécuritaires que les journalistes pour préserver l’édifice démocratique, notamment dans le contexte de démocratie naissante.
Femme, Tunisienne et désormais officier de la Garde Nationale
Une cérémonie a été organisée aujourd’hui, samedi 6 septembre à la caserne de l’Aouina.
Le chef du gouvernement accompagné par plusieurs ministres dont ceux de la Défense, de l’Intérieur et des Finances a présidé la cérémonie de graduation de 66 officiers et agents de la garde nationale.
Cette cérémonie a aussi été marquée par les festivités du 58ème anniversaire du corps de la Garde nationale fondé à l’école de Bir Boureguba.
Parmi les 66 agents, plusieurs femmes, tunisiennes et désormais officiers au service de la Tunisie.
Tunisie-russie: Prêt de 500 millions de dollars
Accord en vue d’accroître les exportations tunisiennes de produits agricoles
La Russie a donné son accord de principe pour l’octroi à la Tunisie d’un prêt de 500 millions de dollars (871 millions de dinars) à des conditions favorables, apprend l’agence TAP auprès du ministre des Affaires étrangères.
Joint au téléphone à Moscou où il effectue une visite à l’invitation de son homologue russe Serguei Lavrov, Mongi Hamdi a indiqué que la Tunisie enverra sur place une délégation du ministère des Finances et de la Banque centrale pour étudier les modalités techniques de décaissement du prêt.
Il a en outre précisé que sa visite en Russie avait permis de faire le point autour de la coopération économique et politique.
Il a été convenu d’accroître les exportations tunisiennes de denrées agricoles vers la Russie (huile d’olive, poisson, poulet, légumes, fruits, notamment), à la suite de l’embargo russe sur les importations alimentaires en provenance des pays de l’Union européenne, a-t-il ajouté.
Il a été aussi convenu, lors des pourparlers avec la partie russe, d’assister la Tunisie dans la lutte contre le terrorisme en lui fournissant à brève échéance du matériel militaire et sécuritaire (jumelles de vision nocturne, gilets pare-balles), outre l’éventuelle organisation de sessions de formation dans ce domaine, a-t-il encore déclaré.
Mongi Hamdi a indiqué, d’autre part, qu’un doublement de bourses d’études accordés aux étudiants tunisiens en Russie a été également évoqué.
Le ministre des Affaires étrangères a qualifié de « prometteuses et larges » les perspectives de la coopération entre la Tunisie et la Russie, annonçant la participation de la Tunisie à la foire internationale pour les aliments et boissons (World food - Moscow) qui se tiendra à la mi-septembre à Moscou.
Les ministres du Commerce et de l’Agriculture y seront aux côtés des représentants d’entreprises tunisiennes, a-t-il précisé.
Les exportations tunisiennes vers la Russie s’élevaient à près de 45 millions de dinars en 2013, contre 1.064 millions de dinars d’importations de la Tunisie en provenance de la Russie, indique-t-on. Rien que pour les cinq premiers mois de 2014, les importations en provenance de la Russie se sont élevées à 604,6 MD, contre seulement 16,6 MD d’exportations vers ce marché.
Huit entreprises russes opèrent en Tunisie dans les secteurs de l’industrie, de l’agriculture et des services, générant un total de 600 postes d’emploi.
En 2013, 300 mille touristes russes ont visité la Tunisie.