Samedi , 9 décembre 2023

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Coopération militaire tuniso-américaine: Les 12 hélicoptères Black Hawk livrés sous peu

 

Outre les dons, dont dix tonnes de matériel de protection, les Etats-Unis fourniront des aides supplémentaires  de plus de 600 millions de dollars en 2015, dont des équipements militaires sophistiqués de lutte contre le terrorisme

L’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique à Tunis, Jacob Walles, a annoncé faire en sorte que 12 hélicoptères de combat Black Hawk soient livrés sous peu à l’armée de l’air tunisienne afin, dit-il, d’assister la Tunisie dans ses efforts de lutte contre le terrorisme.

Des séances de travail sont prévues à cet effet à compter de la semaine prochaine avec le ministère de la Défense nationale pour finaliser cette question et fixer les termes de l’accord, a-t-il précisé.

A une question sur les modalités de livraison des hélicoptères, il s’est borné à déclarer, sans autres précisions, que la question sera discutée durant les prochains jours avec le ministère de la Défense, qu’il doive s’agir de don ou de transaction ordinaire entre deux pays.

Walles, qui s’exprimait lors d’une cérémonie tenue hier à la caserne de l’Aouina à l’occasion de la livraison d’équipements de protection, à titre de don du gouvernement américain aux forces de la police et de la garde nationale, a réaffirmé la volonté des USA d’élargir le champ de la coopération avec l’armée tunisienne. Il a rappelé que les Etats-Unis avaient accordé à la Tunisie après la révolution plus de 100 millions de dollars US sous forme d’assistance à l’armée tunisienne en plus des 600 millions de dollars US supplémentaires qui seront accordés en 2015.

 

Dix tonnes de matériel de protection

Ces aides consistent en des équipements touchant des secteurs prioritaires dont celui du matériel de détection et de neutralisation des mines, des embarcations pour la marine destinées à la surveillance côtière, outre des manœuvres conjointes avec les brigades antiterrorisme relevant de l’armée. Le but en est de les équiper en matériel supplémentaire pour renforcer les compétences de l’armée dans l’exécution d’opérations de nuit, a-t-il dit.

Le ministère de l’Intérieur a reçu hier une livraison de 10 tonnes de gilets pare-balles, casques, boucliers d’assaut et autres équipements de protection, don du gouvernement américain aux forces de la police et de la garde nationale. L’évènement a été marqué par une cérémonie tenue à la caserne de l’Aouina.

Le ministre de l’Intérieur a exprimé à cette occasion, dans une déclaration à la presse, ses remerciements aux Etats-Unis et à l’ambassadeur américain à Tunis pour être constamment venus en aide à la Tunisie au cours de la période de transition démocratique. Ce soutien vient de connaître une nouvelle illustration par la fourniture d’équipements de protection individuels et dans le domaine de la formation, a-t-il ajouté, précisant que ce nouveau matériel de troisième et quatrième générations permettra aux unités spécialisées de la police de mener les opérations d’assaut et de lutte contre le terrorisme dans de bonnes conditions.

L’ambassadeur US, Jacob Walles, a indiqué de son côté, dans son allocution, que la fourniture du matériel en question se veut «l’expression de l’engagement des Etats-Unis de soutenir la Tunisie dans sa guerre contre le terrorisme et de leur volonté de l’aider à réussir le processus de transition démocratique». Il a expliqué que la fourniture de cette aide intervenait à la demande du chef du gouvernement provisoire, Mehdi Jomâa.

«S’ajoutant aux sessions de formation assurées par les Etats-Unis aux forces de sécurité intérieure, a-t-il dit, ce nouveau matériel est destiné à préserver les vies des agents de l’ordre, à leur permettre de gagner en efficacité dans la traque des groupes terroristes et à leur donner les moyens d’assurer la sécurité du peuple tunisien et des frontières du pays». Selon lui, ces derniers cherchent surtout à «faire capoter le processus de transition démocratique et les prochaines élections».

Jacob Walles a, en outre, indiqué œuvrer à hâter la livraison d’autres matériels, sur la base d’une demande supplémentaire faite dans ce sens par Mehdi Jomâa, affirmant  que «le président Barack Obama, le vice-président Joe Biden et l’ensemble du staff du Conseil de sécurité nationale des Etats-Unis se tiennent aux côtés de la Tunisie en cette étape cruciale et restent déterminés à l’assister dans son effort de lutte contre le terrorisme».

 

Gouvernance sécuritaire

Walles a, par ailleurs, rappelé le propos d’Obama lors du Sommet USA-Afrique tenu à Washington les 5 et 6 août, à savoir que la Tunisie sera l’un des six pays africains bénéficiaires de « l’initiative de nouvelle gouvernance

sécuritaire», censée, aider à parfaire l’administration sécuritaire. Il a, en outre, fait part de son soutien à l’initiative du chef du gouvernement Mehdi Jomâa en faveur de la création d’un «pôle antiterrorisme» qui regrouperait tous les organismes concernés relevant des ministères de l’Intérieur, de la Défense et de la Justice pour une coordination plus rigoureuse de leurs actions en matière de lutte contre le terrorisme.

L’ambassadeur américain a rappelé que l’aide cumulée fournie par son pays au ministère de l’Intérieur s’est élevée à 35 millions de dollars et à une aide supplémentaire de 14 millions USD qui lui sera fournie en 2015.

En plus du ministre Lotfi Ben Jeddou, la cérémonie de remise de l’aide américaine s’est déroulée en présence du ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur chargé de la sécurité Ridha Sfar, et de plusieurs membres de la haute hiérarchie de la police et de la garde nationale.

Une aide américaine évaluée à 14 millions de dollars prévue pour 2015

 

L'ambassadeur des États-Unis en Tunisie, Jacob Walles a annoncé, lors d’une cérémonie tenue jeudi à la caserne de l’Aouina à l’occasion de la livraison d’équipements de protection, aux forces de la police et de la garde nationale, que son pays a l’intention d’apporter l’année prochaine une aide au ministère de l’Intérieur d’une valeur de 14 millions de dollars, rapporte Mosaïque Fm.

 

Jacob Walles a, par ailleurs, précisé que le président américain Barack Obama a fait savoir que la Tunisie sera parmi les 6 pays africains qui participeront à une initiative de nouvelle gouvernance sécuritaire.

Livraison de casques et de gilets pare-balles américains aux forces de l’ordre

Dans le cadre d'aider la Tunisie pour lutte contre le terrorisme , un lot de casques et de gilets pare-balles a été livré par l'USA à la Tunisie ce jeudi 14 août 2014. Le matériel a été présenté aux médias  au siège de l’administration générale de la Garde nationale. A cette occasion, le  ministre de l’Intérieur Lotfi Ben Jeddou, a remercié les Etats-Unis pour son aide fournie à la Tunisie.

Jacob Walles : Nous allons faciliter la livraison des 12 hélicoptères militaires à l’Armée tunisienne (vidéo)

 

L’ambassadeur des Etats-Unis en Tunisie, Jacob Walles a annoncé, jeudi 14 août 2014, qu’il était entrain d’œuvrer pour que son pays délivre dans les plus brefs délais, douze hélicoptères Black Hawk à l’Armée tunisienne, dans le but de combattre le terrorisme.

 

En effet, l’ambassadeur a précisé, en marge de la cérémonie qui a eu lieu le jour même à la caserne de l’Aouina, que la semaine prochaine verra le lancement de réunions de travail avec le ministère de la Défense nationale. Ces réunions auront pour finalité, selon M. Walles, l’entente sur les détails de l’opération et la détermination des critères des hélicoptères. Et d’expliquer que ce modèle d’hélicoptère est très sophistiqué et coûteux.

 

L’ambassadeur américain a par ailleurs souligné que la nature de la livraison (s’il s’agit d’un don ou d’une transaction commerciale entre les deux pays) sera abordée au cours des prochains jours avec les responsables du ministère de la Défense.

Libye: Un pays en pleine guerre civile qui «se dirige droit vers la guerre totale»

 

Près de trois ans après la chute de Mouammar Kadhafi, la Libye est secouée ces derniers jours par une nouvelle flambée de violences, face auxquelles les autorités semblent impuissantes…



Que se passe-t-il en Libye?



Depuis dimanche, des milices islamistes lancent des tirs de mortier et des roquettes sur l’aéroport international de Tripoli, contrôlé depuis 2011 par des brigades anti-islamistes. C’est la dernière flambée de violences en date entre les milices islamistes – considérées comme le bras armé du courant islamiste au sein des autorités — et les brigades anti-islamistes de Zenten (sud-ouest de Tripoli) – considérées comme la force militaire du camp libéral. Dans l’est du pays, des combats opposent depuis lundi les forces de sécurité à des groupes islamistes radicaux, et des combats quotidiens ont lieu depuis la mi-mai entre combattants islamistes et forces paramilitaires du général dissident Haftar, qui a lancé une offensive contre les groupes islamistes «terroristes».



Comment ont réagi les autorités?



Le gouvernement libyen, dépassé, a annoncé envisager de faire appel à des forces internationales pour l’aider à rétablir la sécurité dans le pays. Mais la mission de l’ONU en Libye (Unsmil), qui assistait les autorités de transition dans la reconstruction des institutions, a annoncé lundi le «retrait temporaire de son personnel pour des raisons de sécurité».



Le pays est-il en train de tomber dans la guerre civile?



«La Libye est déjà en train de vivre une guerre civile, et se dirige droit vers la guerre totale», martèle Riadh Sidaoui, directeur du Centre Arabe de Recherches et d’Analyses Politiques et Sociales à Genève (Suisse). «C’est à la fois un conflit idéologique (entre islamistes et libéraux), régionaliste (entre l’est, l’ouest et le sud), et tribal (entre les pros et anti-Kadhafi). De plus, le terrorisme international y a trouvé un foyer prospère. On assiste à une véritable “somalisation “de la Libye», explique-t-il.


Le spécialiste explique que le pays «est divisé en villes militaires autonomes, indépendantes, que le pouvoir central n’arrive pas à contrôler». «Aujourd’hui, on ne sait pas qui gouverne, ni où est l’autorité», juge Riadh Sidaoui. La Libye ne s’est en effet toujours pas remis de la révolte qui a renversé en août 2011 le dictateur Mouammar Kadhafi. Des milices y font la loi, face à des autorités affaiblies et plus préoccupées par les luttes d’influence pour garder le pouvoir.



Qu’en est-il de la normalisation démocratique engagée?



Après la «libération» officielle du pays en octobre 2011, les Libyens ont élu à l’été 2012 un Congrès général national (CGN), l’Assemblée nationale libyenne. Tiraillé par de nombreuses luttes d’influence et incapable de mener à bien sa mission (rédaction d’une Constitution puis élections générales dans les 18 mois), le CGN a prolongé en décembre son mandat jusqu’au 24 décembre 2014, provoquant la colère d’une grande partie de la population et de la classe politique.



Le 25 juin, des élections législatives pour remplacer le CGN ont eu lieu, dont les résultats définitifs seront annoncés le 20 juillet. C’est ce scrutin qui raviverait les violences, selon certains observateurs, le courant libéral étant crédité d’une majorité confortable devant les islamistes. «L’assaut sur l’aéroport peut être interprété comme une mesure préventive (des islamistes) pour tenter de s’emparer d’installations importantes dans la capitale», estime l’analyste libyen Mohamed Eljarh. «Les islamistes sont déterminés à se maintenir en tant qu’acteur majeur sur la scène politique, après leur défaite aux élections et la menace croissante de l’opération du général Haftar contre les islamistes dans l’est libyen», a-t-il ajouté.


La situation risque-t-elle d’empirer?



C’est très possible. «Il faudrait un miracle pour que le pays se stabilise», reprend Riadh Sidaoui. Comment pourrait-il y arriver? «Il faudrait recréer une armée nationale libyenne homogène, qui puisse déposséder les milices de leurs armes et combattre les foyers terroristes, et trouver un compromis politique entre les chefs tribaux, les cheikhs…», énumère le spécialiste.

L’Algérie installe des lance-missiles sol-air à la frontière avec la Tunisie

 

L’Algérie a installé des lance-missiles sol-air à la frontière avec la Tunisie et la Libye, en prévention d’attaques aériennes menées par des terroristes à partir de la Libye.

 

Le journal algérien ‘‘Al-Fajr’’ a indiqué que le ministère algérien de la Défense a commencé à installer des lance-missiles anti-aériens de type S-125 de fabrication russe dans les wilayas (gouvernorats) de l’est, tout au long de la frontière avec la Tunisie et la Libye.

 

L’Algérie semble prendre très au sérieux une possible attaque terroriste menée par des groupes djihadistes libyens, après que certains de ces groupes aient pris le contrôle de l’aéroport de Tripoli et des avions qui y sont stationnés.

 

Les services algériens ont déjà laissé filtrer des informations sur des projets d’attaques aériennes contre des cibles importantes en Tunisie et en Algérie, à l’instar des attaques terroristes contre les deux tours du World Trade Center à New-York, le 11 septembre 2011.

 

La date du 11 septembre 2014 est d’ailleurs appréhendée, car elle pourrait être choisie par les terroristes pour une telle attaque, ces derniers aimant généralement marquer les esprits par une action d’envergure en cette date anniversaire.

Arrestation de Ali Ben Hichem Rabeh : un terroriste recherché par les autorités tunisiennes et algériennes

 

Lors d'un point de presse tenu ce jeudi 7 août 2014, Med Ali Aroui, porte-parole du ministère de l'Intérieur, a annoncé l'arrestation de Ali Ben Hichem Rabeh, désigné comme un "dangereux terroriste". 

 



Au moment de son arrestation, Ben Rabeh comptait se rendre en Libye pour rejoindre un dirigeant d'Ansar Al Chariaa. 

 


Aroui a indiqué, par ailleurs, que l’arrestation de ce dangereux terroriste a permis de démanteler cinq autres groupes terroristes. A noter que Ali Ben Hicham Rabeh fait l'objet d'un avis de recherche de la part de la Tunisie et de l’Algérie.

Sommet Afrique: Obama renforce la coopération avec l’Afrique face au terrorisme

 

Le Président Barack Obama a annoncé mercredi un renforcement sensible de la coopération avec l'Afrique pour lutter contre le terrorisme, au dernier jour d'un sommet au cours duquel les Etats-Unis ont promis des milliards de dollars pour un continent "chargé de promesses".

 

"Si l'Afrique fait toujours face à de réels défis, nous voyons aussi l'émergence d'une nouvelle Afrique, plus prospère", a lancé M. Obama, né d'une mère américaine et d'un père kényan, à l'issue de trois jours de rencontres avec un quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement, une première dans l'histoire des Etats-Unis.

 

Soulignant la nécessité de resserrer la coopération en matière de sécurité "pour mieux faire face à des menaces communes comme le terrorisme ou le trafic d'êtres humains", il a annoncé que Washington contribuerait à la création d'une force d'intervention rapide de maintien de la paix.

 

Cette initiative, à laquelle les Etats-Unis contribueront à hauteur de 110 millions de dollars par an, s'appuiera sur des pays qui ont déjà fait leurs preuves dans ce domaine: le Ghana, l'Ethiopie, le Sénégal, la Tanzanie, le Rwanda et l'Ouganda.

 

Les Etats-Unis affichent depuis plusieurs mois leur volonté de s'appuyer sur le type d'intervention mis en place dans l'est de l'Afrique pour faire face aux insurgés shebab, où ils fournissent une assistance aux troupes de l'Union africaine.

 

L'objectif est de permettre d'entraîner, d'équiper et de former les troupes dédiées au maintien de la paix. En échange, les pays africains partenaires s'engagent à ce que leurs soldats et leur équipement puissent être déployés rapidement.

 

Le Kenya, la Tunisie, le Mali, le Nigeria, le Niger et le Ghana vont par ailleurs bénéficier d'un nouveau plan d'aide de Washington pour mieux garantir leur sécurité.

 

Si la mission de l'UA a réussi à chasser les shebab de Mogadiscio et à les empêcher d'y renverser le fragile gouvernement soutenu par les Occidentaux, les shebab mènent toujours des actions de guérilla dans le pays et ont également revendiqué une série d'attaques meurtrières dans des pays voisins, ciblant surtout le Kenya.

 


'Rôle crucial des médias'



Evoquant une nouvelle fois la nécessité de renforcer les institutions démocratiques sur le continent, M. Obama a appelé l'Egypte à libérer les trois journalistes d'Al-Jazeera condamnés à des peines de 7 à 10 ans de prison fin pour soutien aux islamistes. Invité au sommet USA-Afrique, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décliné l'invitation.

 

"Même si les dirigeants ne les apprécient pas toujours, les médias jouent un rôle crucial", a souligné M. Obama qui a multiplié, au cours d'un sommet largement centré sur l'économie, les appels au respect de l'Etat de droit. "Les gens doivent être capables d'envoyer des biens sans payer un pot-de-vin ou embaucher le cousin de quelqu'un", a-t-il lancé mardi.

 

Washington accuse un retard marqué sur l'Europe et la Chine dans ses échanges commerciaux avec la deuxième région du monde en plus forte croissance économique.

 

"Sur l'ensemble des produits que nous exportons à travers le monde, seuls 1% vont vers l'Afrique sub-saharienne", a rappelé M. Obama en annonçant que plusieurs grands groupes américains - Marriott, Coca-Cola et General Electric notamment - s'étaient engagés à investir 14 milliards sur le continent qui devrait connaître une croissance proche de 6% en 2015.

 

A l'issue d'un sommet qui n'a pas eu un énorme retentissement dans les médias américains, l'organisation Human Rights First a déploré que les représentants de la société civile n'aient pas été associés aux discussions à huis clos sur les sujets sensibles de la gouvernance et la sécurité. "La Maison Blanche a raté une occasion historique de mettre en exergue l'importance de la protection des droits de l'homme", a estimé Shawn Gaylord, représentant de l'ONG.

 

Seuls les dirigeants de quatre pays, jugés infréquentables, n'avaient pas été conviés à Washington: la Centrafrique, l'Erythrée, le Soudan et le Zimbabwe. Mais les indéboulonnables présidents de la Guinée équatoriale (Teodoro Obiang Nguema), du Cameroun (Paul Biya) ou encore de l'Angola (Eduardo dos Santos) avaient en revanche reçu un carton d'invitation.

 

Evoquant l'épidémie d'Ebola qui a fait plus de 900 morts en Afrique de l'ouest et s'est invitée dans les débats, M. Obama a jugé prématuré d'utiliser un médicament expérimental en Afrique pour traiter les personnes touchées par le virus, jugeant que les informations disponibles étaient insuffisantes pour déterminer l'efficacité du médicament.

 

Les autorités sanitaires américaines ont porté mercredi leur alerte sanitaire au niveau 1, le plus élevé, pour répondre à cette épidémie. C'est la première fois depuis 2009, et la pandémie de grippe H1N1, que cette alerte maximum est déclenchée.

 

Pour le premier président noir de Etats-Unis, ce sommet marque d'abord un tournant, illustrant une volonté de s'impliquer plus fortement dans l'avenir d'un continent sur lequel son élection à la Maison Blanche avait suscité d'immenses espoirs, partiellement déçus à l'issue de son premier mandat.