dimanche , 2 avril 2023
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BCE : Le pays a besoin de mesures audacieuses et exceptionnelles

La signature de l'accord sur les majorations salariales entre l'UGTT et le gouvernement est de nature à favoriser la paix sociale, la production et le retour au travail, a déclaré mardi soir le président de la République Beji Caid Essebsi. Il s'agit de la deuxième initiative visant à sortir le pays de la crise, a -t-il noté dans un entretien télévisé sur la chaîne privée Nesma TV. La première initiative étant le projet de loi sur la réconciliation économique.

Lotfi Damak : Soumettre le projet de loi de réconciliation à un dialogue national est une perte de temps

Lotfi Damak a précisé que le gouvernement actuel a choisi de préférer la réconciliation à la vendetta, indiquant que la présidence de la République a soumis ce projet à l’Assemblée des représentants du peuple et qu’elle n’envisage pas de le retirer pour le soumettre au dialogue national , considérant que c’est une « perte de temps ».

“La Tunisie tourne casaque sur la corruption”, selon le Financial Times

La colère contre les dirigeants corrompus et leurs acolytes  en affaires a précipité dans la rue des  milliers  de Tunisiens et d’Egyptiens en  2011 et a finalement conduit à la chute des deux dictateurs de longue date, Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak, écrit le quotidien économique et financier britannique « Financial Times », dans un article consacré à la corruption en Tunisie et en Egypte .

Bataille autour du projet de réconciliation économique

Depuis l’annonce, le 20 mars dernier, de l’initiative présidentielle relative à la réconciliation nationale dans le domaine économique  et financier, le débat est lancé et les réactions s’enchainent et les accusations fusent entre partisans et opposants. Les répliques deviennent de plus en plus virulentes et les échanges plus vifs après l’élaboration d’un projet de loi organique de 12 articles pour concrétiser cette initiative et son adoption le 14 juillet dernier par un conseil des ministres exceptionnel présidé à Carthage par le chef de l’Etat.

Taoufik Bouderbala critique les accusations « non fondées » contre le projet de loi sur la réconciliation

Le nouveau président de la Haute Instance des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales, Taoufik Bouderbala a qualifié de “malsaine” la polémique suscitée par  le projet de loi organique relatif à la réconciliation nationale dans le domaine économique et financier., soulignant qu’il s’agit d’une initiative du président de la République, qui fera bientôt l’objet d’un examen au sein de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).

A propos de la réconciliation économique et financière

La loi sur la réconciliation économique et financière proposée par le président Essebsi, déposée en juillet 2015 à l’Assemblée des Représentants du Peuple cherche à tourner la page d’un passé révolu. Elle relève, elle aussi, du cadre général de la justice de transition, de la justice réconciliatrice propre aux systèmes de transition démocratique, qui allient d’ordinaire droit, politique et équité, en vue d’être aussi utile au pays que juste vis-à-vis de l’opinion.

Tunis : Voici le texte intégral du Mémorandum d’entente tuniso-américain. Sera-t-il mis fin à la polémique ?

Pressé de toutes parts de révéler le contenu du mémorandum d’entente signé le 20 mai 2015 par la Tunisie et les Etats-Unis, que maintes parties politiques soupçonnent de comprendre des clauses secrètes, le ministère tunisien des Affaires étrangères vient d’en  publier sur son site officiel, le texte tel qu’il a été signé par Mohsen Marzouk, ministre conseiller chargé des affaires politiques de la République de Tunisie et John F.Kerry, secrétaire d’État des États-Unis d’Amérique.

La famille d’une victime de l’attentat du Bardo compte demander des dédommagements à l’Etat tunisien

La famille d'une victime française de l'attentat du Bardo compte porter plainte contre l'Etat tunisien, dénonçant un manque de sécurité le jour de l'attaque, rapporte le site de la radio RTL. "Il n'y avait pas de sécurité. Peut-être que s'ils avaient été là, il n'y aurait (...) eu que des blessés légers", a affirmé la soeur de la victime, une rescapée de l'attentat du 18 mars.Grièvement blessée par balles, la victime est morte quelques jours après l'attaque.