jeudi , 28 septembre 2023
Home / page 97

Blog Archives

Expert en matière électorale: un électeur peut enregistrer les membres de sa famille

 

L’expert en matière électorale, Lassaâd Moussa a précisé dans la journée du  vendredi 23 mai 2014 que l’électeur peut enregistrer les membres de sa famille et cela selon les procédures mises en pl­ace par  l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE)­ .

 

Moussa  a précisé que la loi électorale est susceptible d’être améliorée  et les élections peuvent être tenues fin de l’année en cours.

Démarrage, le 23 juin, de l’inscription des électeurs

 

Selon le président de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), l'inscription des électeurs devra démarrer le 23 juin 2014.

 

Chafik Sarsar, qui parlait mercredi, lors d'une conférence de presse tenue au Centre africain de perfectionnement des journalistes et communicateurs (CAPJC), a souligné que la campagne de sensibilisation à cette action, au niveau des médias et sur le terrain, va démarrer à partir du jeudi 15 mai.

 

«L'Isie ne peut entamer ses activités, à commencer par l'actualisation du registre des électeurs, sans se baser sur un cadre réglementaire, d'autant que la loi électorale n'entrera en vigueur qu'après la réponse de l'Instance provisoire de contrôle de la constitutionnalité des lois et sa promulgation effective», a-t-il ajouté.

 

Chafik Sarsar a fait également observer que l'Instance a jusqu'à présent reçu près de 2000 demandes pour faire partie de ses bureaux régionaux, annonçant, par ailleurs, l'ouverture des candidatures aux bureaux de l'Isie à l'étranger.

 

«Les préparatifs engagés en prévision des échéances électorales vont bon train», a-t-il assuré, citant l'ouverture des locaux régionaux et la coordination avec la Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle (Haica) en vue de trouver un local commun au niveau central. «Le choix sera éventuellement porté sur le siège central du RCD dissous», a-t-il dit.

 

L'Instance provisoire de contrôle de la constitutionalité des lois a, déjà, reçu 5 recours portant sur la loi électorale adoptée le 1er mai 2014 par l'Assemblée nationale constituante (ANC).

 

HAICA : Un observatoire de contrôle permanent et continu des médias audiovisuels durant les élections

 

Pour le respect des règles de la campagne électorale, un observatoire est créé pour le contrôle permanent et continu des médias audiovisuels. Lors d’une conférence de presse tenue aujourd’hui vendredi 02 mai 2014 la HAICA, le président de la Haute Autorité Indépendant de la Communication Audiovisuelle, Nouri Lajmi, a assuré que la HAICA travaillera en coordination avec l'ISIE pour superviser les établissements audiovisuels durant la période électorale

Par ailleurs, Nouri Lajmi a annoncé la création d'un observatoire qui sera chargé du contrôle permanent et continu des médias audiovisuels et d'envoyer les rapports, en cas d'irrégularités ou de dépassements, à l'ISIE pour qu'elle puisse prendre les mesures nécessaires.

Rafik Halwani : l’accompagnement des alphabètes lors du vote est dangereux

 

Le président du réseau « Mourakiboun », Rafik Halwani  a indiqué sur nos ondes que la mention de l'accompagnement des analphabètes lors du vote dans le projet de loi électorale comme une action dangereuse qui porte atteinte à la nature secrète du vote.

 

Il a indiqué que la solution demeure l’explication des logos des partis dans les bulletins de vote et la publication des explications un mois avant la tenue du scrutin. Plus de détails dans cette déclaration.

 

De son côté, le membre de l’observatoire Chahed, Nabil Labbassi a considéré que le mécanisme de fusion entre l’inscription facultative et l’inscription automatique des électeurs sera inappropriée lors des prochaines élections puisque cette technique a prouvé son inefficacité lors du scrutin du 23 octobre 2011.

Prochaines échéances électorales: Le temps passe vite

 

Mise en garde du président de l’Isie contre l’éventualité de ne pas tenir les prochaines élections au courant de l’année. Certaines parties politiques en Tunisie n’ont pas conscience, aujourd’hui, de l’importance de tenir les prochaines élections à la date fixée, a déclaré le président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Chafik Sarsar.

 

Dans une déclaration à la presse, en marge de la séance d’audition des membres de l’Isie par la commission des droits, des libertés et des relations extérieures de l’Assemblée nationale constituante, Sarsar a souligné que « le temps passe vite », mettant en garde contre l’éventualité de ne pas tenir les prochaines élections au courant de l’année. Ce qui, a-t-il prévenu, « peut être grave et s’oppose aux dispositions de la Constitution qui prévoit l’organisation de ces élections avant la fin de 2014 ».

 

En réponse à une question sur les sanctions prévues dans le projet de la loi électorale dont des peines d’emprisonnement et de lourdes amendes, jugées sévères, Sarsar a dit ne pas s’opposer aux sanctions de la loi électorale, estimant qu’elles ont, dans l’ensemble, une portée «pédagogique » et « préventive ».

 

De son côté, l’expert en informatique au sein de l’Isie, Riadh Bouhouchi, a présenté un exposé sur l’opération d’inscription à distance aux élections, opération qui, a-t-il indiqué, sera possible grâce au concours des prestataires de services en matière de télécommunications, à travers la mise en place d’une application mobile permettant de s’inscrire à distance et de connaître le plus proche centre de vote.

 

Pour sa part, la spécialiste en communication auprès de l’Isie, Khamail Feniche, a estimé que l’accompagnement des électeurs analphabètes aux élections enfreint le principe du secret et de la liberté du vote. Il serait plus judicieux, selon elle, d’organiser des campagnes de sensibilisation et d’organiser une opération de vote blanc pour familiariser les analphabètes à l’opération de vote.  L’Isie a, notamment, pensé aux non-voyants en mettant à leur disposition des bulletins spéciaux en braille, a-t-elle dit.

Le rôle de la HAICA dans le contrôle des campagnes électorales confirmé

 

Rachida Ennaifer membre de la HAICA a indiqué que la commission de la législation générale a retenu, lundi, la plupart des propositions présentées par la HAICA relatives à la répartition des rôles entre l’ISIE et la HAICA dans les campagnes électorales. Elle a précisé, dans une déclaration à la TAP, que l’ISIE a la main haute sur l’organisation du scrutin et c’est à elle que revient le pouvoir coercitif sur les candidats, alors que la HAICA a autorité sur les établissements de communication audiovisuelle.

 

Elle a ajouté que ,dans le cadre de la répartition des rôles entre l’ISIE et la HAICA, il a été convenu que tout ce qui a trait aux règles encadrant la campagne électorale au sein des établissements médiatiques se fera en coordination entre les deux instances, dans le but de garantir l’équité entre toutes les parties durant la période électorale.

 

Au sujet de l’intervention des candidats dans les médias étrangers et leur respect des règles de la campagne électorale, Ennaifer a précisé que la HAICA a proposé l’élargissement de son pouvoir coercitif pour inclure les médias étrangers représentés en Tunisie ou ceux qui diffusent à travers des sociétés de production télévisuelle tunisiennes, dans un souci de faire respecter les règles de base de la campagne électorale et de garantir l’égalité de traitement des médias en Tunisie et à l’étranger.

Le président de l’ISIE s’exprime quant au vote des analphabètes

 

Le président de l'ISIE (Instance supérieure indépendante des élections), Chafik Sarsar, a proposé trois pistes de réflexion quant au vote des analphabètes. Intervenant au micro de Wassim Ben Larbi sur Express FM le 17 mars 2014, le président de l'ISIE a déclaré qu'il fallait préparer et former l'analphabète à l'opération de vote. Ceci doit se faire en collaboration, notamment, avec le PNUD et le ministère des Affaires sociales. Il y aura également une campagne de sensibilisation.

 

Le deuxième point concerne le bulletin de vote. M. Sarsar a expliqué qu'il fallait simplifier le bulletin contrairement à celui qui avait été utilisé lors des élections du 23 octobre 2011. Le troisième point concerne le nombre d'élus. Chafik Sarsar a expliqué qu'il fallait modérer le nombre d'élus. Il a donné pour exemple le gouvernorat de l'Ariana, lors des élections du 23 octobre où il y avait 95 candidats ce qui a pour effet de complexifier l'opération de vote. Il a ajouté que la loi électorale ne pouvait contenir la disposition concernant l'accompagnement de l'analphabète à l'isoloir. Il a ajouté qu'il fallait laisser à l'instance toute latitude pour déterminer les conditions de vote.

Prochaines échéance électorales-Réunir toutes les conditions de réussite

 

Démarrage de rencontres-marathons entre l’Isie et le ministère de l’Intérieur

 

Les préparatifs en prévision des prochaines élections ont été au centre d’une séance de travail, hier, au siège du ministère de l’Intérieur à Tunis. Elle est la première d’un marathon de rencontres programmées entre les représentants du ministère de l’Intérieur et le président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).

 

Les deux parties ont parlé du nouveau siège central de l’Isie et de ses bureaux régionaux ainsi que de l’urgence d’entamer les formalités préalables à l’élection. Le président de l’Isie, Chafik Sarsar, a recommandé aux représentants du ministère de l’Intérieur d’appeler les citoyens à renouveler leurs pièces d’identité et documents nécessaires au vote.

 

Il a exhorté les autorités locales et régionales à multiplier la coopération et la coordination pour assurer le bon déroulement de la campagne électorale et du scrutin. De son côté, le secrétaire d’Etat aux Affaires régionales et locales, Abderrazek Ben Khalifa, a mis en evidence le souci du chef du gouvernement provisoire Mehdi Jomâa de réunir toutes les conditions pour assurer la réussite de cette échéance politique majeure. Il a, notamment, rappelé que Jomâa s’était engagé, lors de la séance de vote de confiance à l’Assemblée nationale constituante en janvier dernier, à œuvrer en vue de réussir les prochaines élections.

Le syndicat de police occupe le siège de l’Instance des élections à Kairouan

 

Chafik Sarsar, président de l'Instance des élections (IE), déplore l’occupation, samedi 1er mars, du siège de l’Instance à Kairouan (centre) par des membres du syndicat des forces de sécurité et leur demande l’évacuation immédiate des lieux.

 

Les membres des syndicats des forces de sécurité ont pris possession, illégalement et par la force, les locaux de l’ex-Instance supérieure indépendante des élections (ISIE), qui doivent être cédés à la nouvelle Instance des élections (IE), présidée par Chafik Sarsar.

 

Les occupants ont terrorisé le personnel présent, qu’ils ont obligé à quitter les le local, dont ils se sont emparés.

 

Toute en demandant l’évacuation immédiate du local de l’IE, M. Sarsar a demandé aux occupants de recourir à la justice pour le récupérer, s’ils y ont vraiment droit, comme ils l’affirment.

 

Le local appartenait au Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), l’ancien parti au pouvoir dissous, avant de devenir, sur une décision du gouvernement, le siège régional de l’ISIE.

Chafik Sarsar s’inquiète du retard mis dans l’adoption de la loi électorale

 

Chafik Sarsar, président de l’Instance des élections (IE) met la pression sur l’Assemblée nationale constituante (ANC) pour l’adoption de la loi électorale afin que les élections puissent avoir lieu avant la fin de 2014.

 

Lors de sa rencontre, mardi, avec Mustapha Ben Jaâfar, président de l’ANC, Chafik Sarsar a indiqué que l’Instance qu’il préside ne pourrait lancer les préparatifs pour les élections prévues avant la fin de l’année sans l’adoption de la nouvelle loi électorale par les députés. Or, les débats autour de cette loi se prolongent au-delà du raisonnable. Et les retards risquent de s'accumuler et d'impacter négativement le traval de l'Instance.

 

L’IE a annoncé, dans un communiqué publié aujourd’hui, la nomination de Nabil Selmi au poste de directeur exécutif. Ce diplômé de l’Ecole nationale d’administration (ENA) a occupé plusieurs postes dans l’administration, dont il a une certaine expérience.