lundi , 25 septembre 2023
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Ben Hamed: La magistrate qui a examiné les recours en appel des législatives est intègre

 

Mohamed Faouzi Ben Hamed, premier président du tribunal administratif a assuré dans une déclaration à Mosaïque que la magistrate qui a examiné les recours en appel des listes est digne de confiance.

 

 

Il s'agit d'une magistrate intègre et neutre, a assuré Ben Hamed qui a ajouté que cette dernière a examiné les recours en appel lors des élections de l'ANC en 2011.

 

 

Notons que des photos ont été publiées de la magistrate et qui prétendent qu'elle a des liens avec le leader à Nidaa Tounes, Ridha Belhaj.

Le fils de Abderraouf Ayadi en garde à vue

 

Le représentant du procureur de la République a interrogé un des fils de Abderraouf Ayadi, dans l'après-midi du lundi 22 septembre 2014, et l’a placé ensuite en garde à vue. Il sera interrogé par le juge vendredi prochain et devrait rester en état d’arrestation jusque-là. 

 

Les raisons de son arrestation demeurent ambigües en raison de la multiplicité des versions. Des sources judiciaires ont indiqué à Business News qu’il a été arrêté dans l’affaire de Henchir Tella avec deux de ses copains et ce après avoir fêté la mort de nos soldats. 

 

Des sources médiatiques parlent de terrorisme et évoquent son implication avec deux autres personnes. Le nom du fils de Abderraouf Ayadi aurait été évoqué dans les interrogatoires. 

 Mise à jour :

 

Dans une déclaration à Business News, une avocate proche de Me Ayadi a confirmé ces informations en affirmant que le fils de Abderraouf Ayadi a été arrêté dans la voiture de l’un de ses amis dans laquelle on avait trouvé un étendard salafiste. Les deux jeunes gens sont accusés d’avoir célébré la mort des soldats tunisiens, assassinés dans l’attentat de Henchir Tella. Selon l’avocate, la date de leur arrestation est éloignée de celle de l’attentat et les deux jeunes hommes ne pouvaient donc être arrêtés dans le cadre de cette affaire. L’avocate pointe du doigt un règlement de comptes visant Abderraouf Ayadi à travers cette arrestation. 

 

Nous avons appelé Abderraouf Ayadi qui a refusé de se prononcer sur cette affaire et de nous donner sa version des faits. 

 

On rappelle que Me Ayadi est avocat militant et candidat à la présidentielle au nom de son parti Wafa.

Zine El Abidine Ben Ali réagit aux propos de Abderraouf Ayadi

 

Nous avons reçu, aujourd’hui mardi 23 septembre 2014, cette correspondance de Me Akram Azoury, avocat de l’ex-Président tunisien Zine El Abidine Ben Ali. Nous la publions dans son intégralité :

 

Me Akram Azoury, avocat de l’ex-Président tunisien Zine El Abidine Ben Ali considère que les déclarations du candidat aux élections présidentielles tunisiennes M. Abderraouf Ayadi en vertu desquelles il a invité son concurrent aux élections M. Mustapha Kamel Nabli à dévoiler aux Tunisiens les circonstances dans lesquelles les 2000 Millions de Dinars ont été retirés de la banque centrale le 15 janvier 2011, le lendemain du départ de M. Zine El Abidine Ben Ali, viennent confirmer les déclarations de l’ancien ministre de l’intérieur tunisien M. Farhat Rajhi du 15 décembre 2012, qui avait alors affirmé que l’argent prétendument découvert à la résidence du Président Ben Ali, a été sciemment emprunté de la banque centrale tunisienne pour être filmé par la chaîne nationale dans le but d’exciter l’opinion publique à des fins politiques,

 

Me Akram Azoury, renvoie à cet effet au contenu de son communiqué du 18 décembre 2012 dans lequel il avait remis en question le soi disant jugement de condamnation rendu le 20 juin 2011 contre le Président Ben Ali et réitère que les devises ont été empruntées de la banque centrale spécialement pour être filmées dans sa résidence puis retournées à la banque.

 

Me Azoury conclut en exprimant sa plus forte déception quant à l’absence de prise de position par le Procureur tunisien à ce jour de mesures visant à ouvrir d’office une enquête aux fins de poursuivre les auteurs, complices et instigateurs de cette manipulation et de demander lui- même l’annulation du jugement du 20 juin 2011.

 

Ouverture d’une enquête sur les propos de Kamel Morjane concernant le scrutin de 2011

 

Le ministère public au Tribunal de première instance de Tunis a annoncé, aujourd’hui mardi 16 septembre 2014, sa décision d’ouvrir une enquête concernant les propos tenus par Kamel Morjane, lors d’une émission télévisée sur Al Wataniya 1, lundi soir 15 septembre, faisant allusion à l’existence de fraude électorale lors du scrutin du 23 octobre 2011.

 

En effet, le chef du parti Al Moubadara a fait allusion à une falsification des résultats des élections citant le cas notamment de la circonscription de Ben Arous où, selon lui Maya Jeribi du parti d’Al Joumhouri avait obtenu le siège au lieu du candidat de son parti, Mongi B’har qui avait même reçu les félicitations de l’ISIE à l’époque avant de se voir écarté, toujours selon les propres termes de M. Morjane.

Béji Caïd Essebsi devant le doyen des juges d’instruction, aujourd’hui, lundi, à 18h

 

Nous apprenons de source autorisée à Nidaa Tounes, que M. Béji Caïd Essebsi, président du mouvement, sera entendu en fin de cet après-midi, plus précisément à 18 heures, par le doyen des juges d’instruction, et ce suite à ses déclarations lors de son meeting, vendredi 12 septembre, et dans lesquelles il avait accusé certaines parties de tentative de déstabilisation du parti, et des personnes faisant partie des appareils officiels de l’Etat pour l’assassiner.

Le juge d’instruction commence l’interrogatoire du groupe terroriste de Ben Guerdène

 

Le juge d’instruction du 12ème bureau au tribunal de première instance de Tunis a commencé lundi l’interrogatoire des membres du groupe de Ben Guerdène poursuivi pour appartenance à une organisation terroriste, introduction d’armes et explosifs sur le territoire tunisien et constitution d’association aux fins d’attentat à la sûreté de l’Etat.

Deux d’entre eux ont comparu aujourd’hui devant le magistrat instructeur qui en fera autant avec le reste des suspects arrêtés par une patrouille de la Douane à Médenine après la découverte d’une grande quantité d’armes et de fonds à bord d’une camionnette

Lotfi Daouas et Mehrez Hammami devant la chambre criminelle au tribunal de première instance de Tunis

 

La chambre d’accusation de la Cour d'appel de Tunis a décidé de transférer l’ancien juge, Mehrer Hammami, l’ex-directeur des services judiciaires au ministère de la Justice du temps de Ben Ali, Lotfi Daouas, , Ali Boughatass en tant que le médiateur dans une affaire de corruption ainsi que deux autres personnes (Abdel Fattah et Neji Labyadh) devant la chambre criminelle au tribunal de première instance de Tunis

Pour rappel, l’affaire remonte au mois de février 2011, quelques semaines après le déclenchement de la révolution où les frères de l’ex président de la fédération tunisienne de Football Ali Labayedh , ont décidé de porter une plainte à l’encontre de Lotfi Daouas et Mehrez Hammami, affirmant qu’ils étaient obligés de payer 150 mille dinars afin de libérer leur frère Ali Labayedh détenu .

Ali Labayedh a été condamné à 7 ans de prison sur injonction de l’ancien président Ben Ali, et ce pour une affaire montée de toutes pièces concernant un prétendu détournement de 17 millions de dinars,soutiennent les frères Labyedh .

Ben Salah: Certains consommateurs de drogue pourraient bénéficier de circonstances atténuantes

 

Le ministre de la justice Hafedh Ben Salah a précisé  dans une interview accordée au journal Attounissia que certains consommateurs de drogue pourraient bénéficier de  "circonstances atténuantes" et a par ailleurs annoncé le démarrage de l’application de la justice électronique dans les tribunaux de Tunis, Zaghouan et Nabeul et qui sera bientôt appliquées dans tous les tribunaux du pays.

Libération de 3 gardiens de prison soupçonnés de lien avec des terroristes

 

Trois agents pénitentiaires soupçonnés de complicité avec des terroristes ont été libérés hier, mercredi 9 juillet 2014. Un 4e reste en détention provisoire.

 

Les 4 agents avaient été arrêtés la veille, soupçonnés de liens douteux avec des détenus impliqués dans des affaires terroristes et appartenant à l’organisation Ansar Charia, classée terroriste.

 

Le juge d’instruction auprès du tribunal de première instance de Tunis a ordonné la libération de 3 d’entre eux et le maintien d’un 4e en détention provisoire.

 

Les investigations se poursuivent, alors que la sécurité a été renforcée autour de la prison de Mornaguia, à l’ouest de Tunis.