Samedi , 9 décembre 2023

Archives du blog

Conseil de sécurité nationale : examen des dossiers de Belaïd et Brahmi

Invité sur les ondes radiophoniques, Nourredine Ben Ticha, conseiller politique du palais de Carthage, est revenu sur le dossier de l’assassinat de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. Il souligne que la réunion du Conseil de sécurité nationale aura lieu aujourd’hui. Ainsi, il sera question de débattre de l’existence de l’appareil …

Mohamed Meddeb: Un conseil de sécurité nationale sans militaires ni sécuritaires ?

Suite à l’opération terroriste de Ain Soltane, région Ghardimaou/Jendouba, il n’y a pas de plus normal que le Conseil de Sécurité Nationale (CSN) se réunisse pour examiner la situation et prendre les mesures qui s’imposent pour remédier à d’éventuels dysfonctionnements et aussi consolider les dispositions déjà en vigueur et qui …

L’armée autorisée à faire usage de tous le moyens de force pour protéger les sites de production

Au cours de sa dernière réunion, tenue, le 28 juin, sous la présidence du chef de l’Etat Béji Caid Essebsi, a approuvé un projet de décret portant proclamation des sites de production et des installations stratégiques et vitales « zones militaires interdites ». Ce décret concrétise les instructions données par le président …

Tunisie: Le conseil de sécurité nationale, un outil de “présidentialisation” du régime politique?

Le lundi 08 Mai 2017, une nouvelle réunion du Conseil de sécurité nationale s’est tenue au palais de Carthage sous la présidence du chef de l’État, M. Beji Caid Essebsi. Il n’est pas anodin qu’une telle réunion se soit tenue quelques jours seulement avant le “discours historique” que s’apprêtait à …

Le retour des terroristes au centre de la réunion du CSN à Carthage

Les décisions prises au sujet du retour des terroristes des foyers de tension ont été au centre du Conseil de Sécurité nationale (CSN), tenu ce jeudi 26 janvier 2017 à Carthage, sous la présidence du chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi. L’Amiral Kamel Akrout, premier conseiller auprès du Président de …

La Tunisie craint un nouvel afflux de réfugiés Libyens

 

La Tunisie, qui compte 1,9 million de résidents Libyens, appréhende un afflux de réfugiés de ce pays après le déclenchement, hier, d’affrontements militaires à Benghazi.

 

La Tunisie craint, surtout, l’entrée dans son territoire d’éléments terroristes parmi les réfugiés civils de différentes sensibilités qui fuiraient les combats.

 

Des mesures préventives ont été décidées lors de la réunion d’urgence du Conseil national de sécurité, tenue vendredi 16 mai 2014, au Palais de Carthage, en présence des 3 présidents (de la république, de l’Assemblée et du gouvernement), ainsi que des ministres de la Défense et de l’Intérieur.

 

Selon Lotfi Ben Jeddou, ministre de l’Intérieur, la Tunisie a de bonnes raisons de craindre, après les affrontements militaires d’hier à Benghazi, l’arrivée d’une nouvelle vague de Libyens de différentes sensibilités cherchant l’asile en Tunisie, qui a déjà sur son sol 1,9 million de citoyens de ce pays voisin.

 

Les affrontements d’hier à Benghazi entre les hommes de Khalifa Haftar, général à la retraite, et des éléments de la «Brigade du 17 février», une milice islamiste, ont fait plus de 25 morts et 100 blessés. L’aéroport de Benghazi a été fermé et tous les vols vers cette ville de l’ouest libyen ont été annulés.

 

Khalifa Haftar, appuyé par les forces de l’armée de l’air, a déclaré avoir lancé cette opération pour «nettoyer» Benghazi des groupes terroristes qui imposent leurs lois avec la connivence du gouvernement et du conseil national libyen, tous deux pro islamistes, tout en précisant qu’il ne s’agissait pas d’une guerre civile.

 

Abdallah Al-Theni, porte-parole du gouvernement intérimaire, a qualifié cette opération d’illégale parce qu’elle a été lancée sans ordre du gouvernement.

 

Réunion du Conseil national de sécurité: Situation sécuritaire maîtrisée

 

Jomâa a présenté ses condoléances au peuple et au gouvernement algériens suite à l’attaque terroriste perpétrée le week-end dernier en Algérie

 

Les efforts se poursuivent en vue de renforcer la paix et la stabilité dans le pays et de restaurer le prestige de l’Etat, a affirmé hier le chef du gouvernement provisoire Mehdi Jomâa.

 

Il a indiqué, au terme de la réunion périodique du Conseil national de sécurité, que les opérations de Chaâmbi ont réalisé un bond qualitatif dans le traitement sécuritaire du terrorisme. Et d’ajouter que les forces de sécurité et l’armée maîtrisent la situation et qu’elles ont franchi d’importants pas en matière de lutte antiterroriste.

Il a réitéré l’engagement du gouvernement à imposer la souveraineté de la loi dans toutes les régions et à rétablir l’autorité de l’Etat.

Evoquant l’attaque terroriste qui a eu lieu durant le week-end en Algérie, Jomâa a exprimé ses condoléances au peuple et au gouvernement algériens. Il a affirmé l’entière solidarité avec ce pays frère.

Jomâa a, ensuite, mis en exergue les performances accomplies par l’Algérie dans son combat contre le terrorisme. Il a relevé que les deux peuples frères sont confrontés à un seul ennemi qu’il est aisé de vaincre par le renforcement de la coopération et de la coordination.