samedi , 23 septembre 2023
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Kalâa Kebira : Un fabricant d’armes mis en examen

 

Un homme originaire de Kalâa Kebira a été mis en examen dans une affaire d’un atelier clandestin de fabrication d’armes à feu, rapporte Jawhra fm.
Le prévenu considéré comme un "dangereux criminel" comparaitra ce jeudi, devant le juge d’instruction du tribunal de première instance de Sousse 2.
La même source a indiqué que l'accusé, gérait l'atelier où des fusils de chasse de calibre 12 mm et 16 mm étaient fabriqués

Arrestation à Enfidha d’un présumé terroriste accusé d’homicide volontaire

 

Les agents de la garde nationale d’Enfidha, gouvernorat de Sousse (centre-est), ont arrêté un individu recherché pour homicide volontaire et appartenance à un groupe terroriste.

 

Le ministère de l’Intérieur a indiqué, dans un communiqué publié jeudi, que l’arrestation du présumé terroriste a eu lieu, le mercredi 2 juillet 2014, après une alerte parvenue aux forces spéciales.

 

L’individu recherché est accusé d’homicide avec préméditation. Il est également condamné, par contumace, à 2 ans de prison ferme pour appartenance à une organisation terroriste.

 

Le ministère indique que l’enquête se poursuit afin de mettre la main sur les autres éléments du groupe terroriste.

Sousse : arrestation d’un individu qui appartient à une organisation terroriste

 

Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, un individu faisant l'objet d'un avis de recherche pour homicide prémédité a été arrêté jeudi par les agents de la garde nationale d'Enfidha ( Sousse).

 

Il s'est avéré, après vérification, que le suspect a été également condamné à deux ans de prison pour appartenance à une organisation terroriste.

Affaire Lotfi Nagdh : Les suspects officiellement accusés de meurtre prémédité

 

Les suspects dans l’assassinat du martyr feu Lotfi Nagdh ont été officiellement accusés d’assassinat prémédité. C’est ce qu’a décidé la chambre des mises en accusation près de la Cour d’appel de Sousse, jeudi 26 juin 2014.

Feu Lotfi Nagdh a été assassiné le 18 octobre 2012 laissant derrière lui six orphelins et leur maman. Ce jour-là, des affrontements ont eu lieu à Tataouine entre des manifestants appartenant à la Ligue nationale pour la protection de la Révolution (LPR) et des membres du CPR et d’Ennahdha d’un côté et des membres de l’Union régionale de l'agriculture et de la pêche (URAP) de l’autre.

 

Les membres de la LPR ont tabassé et lynché à mort le coordinateur de Nidaa Tounes dans la ville, Lotfi Nagdh, également président régional de l’Union Tunisienne pour l'Agriculture et la Pêche.

Le 25 janvier dernier, une Chambre de mise en accusation près du Tribunal de 1ère instance de Sousse a officiellement inculpé les assassins présumés de Lotfi Nagdh et a rejeté l'hypothèse de l'arrêt cardiaque comme cause de décès de ce membre du parti Nidaa Tounes. Les accusés ont fait appel, une autre chambre a examiné l’affaire et a aggravé les chefs d’inculpation pour passer de l’article 205 du code pénal à l’article 201.

S'agissant ainsi d'un meurtre volontaire et prémédité et selon l'article 201 du code pénal, les meurtriers de Lotfi Nagdh encourent la peine de mort. 

Sousse : agression physique et verbale du correspondant de ShemsFM par les forces de l’ordre

 

Le correspondant de ShemsFM à Sousse, Salah Souissi, a été, lundi 23 juin 2014, la victime d’agressions physiques et verbales de la part des forces de l’ordre devant le siège du gouvernorat de Sousse durant la couverture d’une manifestation des chauffeurs de taxi.

Salah Souissi a indiqué que 3 agents de police ont essayé de lui prendre de force son téléphone portable et son cartable tout en proliférant des grossièretés et en le faisant tomber par terre. Malgré sa présentation de sa carte professionnelle les forces de l’ordre ont continué à harceler verbalement le correspondant de ShemsFM à Sousse.

Salah Souissi a ajouté que les agents policent en uniforme et en civil ont procédé à la dispersion des manifestants en prononçant des grossièretés.

Un agent des prisons retrouvé ligoté avec le mot Taghout inscrit sur le front

 

Un agent des forces de l’ordre, appartenant au corps des prisons, a été retrouvé chez lui, ligoté après avoir subi de très fortes agressions physiques, apprend-on de sources policières. Son corps est couvert d’hématomes, de bleus et de traces de sang et il aurait échappé à la mort. A priori, et au premier stade de l’enquête, il aurait été roué de coups avec de grosses matraques et des armes blanches. Sur son front, ses agresseurs ont inscrit avec un objet pointu (visiblement une lame) le mot « Taghout », déclenchant ainsi une hémorragie. Le blessé a été transporté d’urgence au centre hospitalo-universitaire.  Une enquête a été déclenchée immédiatement et la police a listé déjà quatre suspects. 

Les agents de sécurité protestent devant le tribunal de Sousse

 

Des agents de sécurité observent un mouvement de solidarité avec l’agent de sécurité arrêté à Kondar à la suite du décès d'un individu lors d'une course-poursuite, devant le tribunal de Sousse.

 

En signe de solidarité avec leur collègue arrêté à Kondar dans le gouvernorat de Sousse, des agents de sécurité se sont rassemblés ce lundi devant le tribunal de première instance de Sousse pour protester contre l’arrestation de leur collègue.

 

Fredj Abid, SG du syndicat régional des forces de sécurité intérieure, a rappelé que leur collègue a agi dans le cadre de la loi.

 

En effet, témoigne-t-il, le véhicule a foncé à toute vitesse sur l’unité sécuritaire avant de  prendre la poudre d'escampette à une vitesse folle.

 

Une course-poursuite s’est engagée.  Le chauffard refuse d'obtempérer à une sommation de s'arrêter.  Les forces de l’ordre n’avaient plus de choix que tirer conformément à la loi, dit-il, entrainant ainsi le décès de l’individu.

 

A cet effet, le syndicat a considéré l’arrestation et la sanction de leur collègue comme pouvant ankyloser les agents au cours de leur travail et a exigé l'activation de la loi de la protection des agents de sécurité et de leurs familles.

Plusieurs arrestations dans un restaurant islamique El-Kolla à Sousse

 

La police a effectué une descente, lundi après midi, au restaurant El-Kolla à Sousse où elle a arrêté plusieurs personnes, notamment le propriétaire, accusés de tenir des réunions de préparation au jihad.

 

Le restaurant islamique, situé près de l’hôpital Sahloul, est utilisé pour des réunions de prêches extrémistes, prônant le terrorisme et préparant des jeunes à partir au jihad en Syrie. Alertés, les forces de l’ordre se sont rendues sur les lieux et ont procédé à l’arrestation des personnes qui s’y trouvaient. Une enquête est ouverte.

 

Le patron du restaurant a été transféré à Tunis pour y être interrogé à propos d’un camp d’entrainement qu’il aurait financé à Menzel Nour et de l’envoi de jeune jihadistes en Syrie.

 

 

Le restaurant El-Kolla, qui a ouvert ses portes fin novembre 2013, est présenté par ses propriétaires comme un endroit 100% halal. Il permet aux clients de déjeuner tranquillement avec des paravents servant à protéger du regard les femmes voilées ou niqabées, la mixité étant considérée comme «haram» (interdite par la religion).

 

Il aura fallu quelques mois pour que ce lieu dédié à la gastronomie se transforme en un endroit où sont donnés des prêches extrémistes. Ceux qui avaient critiqué son ouverture peuvent se réjouir d’avoir eu bien raison…

Manifestation des syndicats de sûreté à Sousse

 

Le syndicat des forces de sûreté a organisé un sit-in protestataire, aujourd’hui à Sousse, en vue de condamner les actes de terrorisme.

Les sécuritaires ont réclamé l’appui de la société civile mais ils ont surtout demandé plus d’équipements et la possibilité de garder leurs armes personnelles en vue de se protéger et de protéger leurs familles, rapporte Jawhara Fm.

Deuxième nuit de heurts entre des jeunes et la police à Sousse

 

 

Les affrontements entre les forces de l’ordre et un groupe de jeunes ont repris, mardi tard dans la nuit, à Sousse, pour la deuxième nuit consécutive.

 

Les heurts se sont déroulés dans le quartier de l’Aouina et Taffala (près de l’hôpital Sahloul). Des jeunes ont bloqué les routes en incendiant des pneus et ont lancé des pierres aux forces de l’ordre dépêchées sur les lieux. Celles-ci ont dispersé la foule avec du gaz lacrymogène.

 

Les autorités ont renforcé le dispositif sécuritaire à Sousse, après ces deux nuits consécutives de violences pour mieux sécuriser la ville et tenter d’arrêter les fauteurs de troubles qui ont réussi à prendre la fuite.