L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a encore une fois échoué le 30 octobre à élire un nouveau président à la tête de l’instance électorale, à cinq mois de la date prévue pour les premières élections municipales de l’après-révolution. Aucun des trois candidats en lice n’a réussi à avoir les 109 voix requises. Il est à rappeler que Chafik Sarsar, ancien président de l’ISIE, a démissionné en mai 2017 ; vu les pressions politiques qui ne lui permettent plus de travailler de manière impartiale et transparente.
