Noura Borsali démissionne de l’IVD mais réaffirme sa conviction en l’importance et en la nécessité d’une justice transitionnelle. Elle ajoute que la justice transitionnelle est essentielle à pour cette transition démocratique. Elle justifie sa démission par la nécessité de revoir le processus de la justice transitionnelle et de le rectifier afin d’en garantir le succès. Cette révision, selon elle, ne peut être faite que par la révision de la loi n° 53 réglementant la matière et par la révision de la composition de l’IVD et de sa présidence.
