dimanche , 2 avril 2023
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Noureddine Saïdi et Saber Sbouï, 2 correspondants de la chaine Al-Hiwar Ettounsi, qui était en train de couvrir jeudi les évènements à Sidi Bouzid, ont été violemment agressés et transportés à l’hôpital de toute urgence. Selon Aymen Rezgui, rédacteur en chef de la télévision privée, ce n’est pas la première fois que l’on s’attaque à notre équipe mais, cette fois-ci, on est passé à la vitesse supérieure. «Alors que le journaliste Noureddine Saïdi et son collègue le cameraman Saber Sbouï couvraient les évènements et interviewaient des habitants et des manifestants, 4 personnes à bord d’une voiture, sortie du gouvernorat, se sont attaqués à eux et l’ont violemment agressés. Ils ont été transportés à l’hôpital pour recevoir les premiers soins avant de passer au poste de la police pour porter plainte», a-t-il dit à Kapitalis. Et d’ajouter : «Les 4 personnes ont dit à nos collaborateurs qu’ils avaient été prévenus et qu’ils n’ont plus droit de venir filmer dans la région». Il y a à peine 2 semaines, les mêmes journalistes, qui couvraient un soulèvement à Gobrar, ont été interpelés par les mêmes personnes. Qui a parlé de milices du parti Ennahdha au pouvoir?

Des journalistes d’Al-Hiwar Ettounsi agressés à Sidi Bouzid

Noureddine Saïdi et Saber Sbouï, 2 correspondants de la chaine Al-Hiwar Ettounsi, qui était en train de couvrir jeudi les évènements à Sidi Bouzid, ont été violemment agressés et transportés à l’hôpital de toute urgence.

Selon Aymen Rezgui, rédacteur en chef de la télévision privée, ce n’est pas la première fois que l’on s’attaque à notre équipe mais, cette fois-ci, on est passé à la vitesse supérieure.

«Alors que le journaliste Noureddine Saïdi et son collègue le cameraman Saber Sbouï couvraient les évènements et interviewaient des habitants et des manifestants, 4 personnes à bord d’une voiture, sortie du gouvernorat, se sont attaqués à eux et l’ont violemment agressés. Ils ont été transportés à l’hôpital pour recevoir les premiers soins avant de passer au poste de la police pour porter plainte», a-t-il dit à Kapitalis. Et d’ajouter : «Les 4 personnes ont dit à nos collaborateurs qu’ils avaient été prévenus et qu’ils n’ont plus droit de venir filmer dans la région».

Il y a à peine 2 semaines, les mêmes journalistes, qui couvraient un soulèvement à Gobrar, ont été interpelés par les mêmes personnes.

Qui a parlé de milices du parti Ennahdha au pouvoir?

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